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Chikara, village caché du sable [RP]

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Chikara, village caché du sable [RP] Empty Chikara, village caché du sable [RP]

Message par Ardanel 13/3/2008, 00:17

Chikara (Village du sable) : Chikara est un village Shinobi se situant à l’ouest de Yuukan, au beau milieu d’un vaste désert. Non loin de ce même désert se trouve d’anciennes ruines mystérieuses. Le symbole représentatif du village caché porte à une forme de sablier, en référence au désert. Ce sont des spécialistes du Taijutsu.

Chikara, village caché du sable [RP] Pays_vent
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Chikara, village caché du sable [RP] Empty Re: Chikara, village caché du sable [RP]

Message par Mei-Lynn Sabishii 14/3/2008, 12:46

[HRP]En espérant pourvoir poster! ^^"[/HRP]

J'avais déjà résussi à faire animer une souris, bon, certain morceaaux manquaient, mais c'était un début! Je repris le livre en main, et consultai la "leçon" suivante:

Animation en nombre:

Parvenir à animer une souris est déjà un acte positif, qui nous permet de prendre confiance en soi, et donc de continuer sur notre lancée. Afin de mieux maîtrsé la technique d'animation de petits animaux, il est fort utile de les animer en plus grand nombre. Pour commencer, il est conseillé d'animer deux petits animaux en même temps.

Pour obtenir ce résultat, il faut, comme l'étape précendente, concentrer son chakra proportionnellement à la créature dessinée. Ensuite, plus compliqué, doubler cette dose en deux parties égales, une grande concentration est donc demandée.


Mei-Lynn: Bon, ça m'a pas l'air aussi compliqué que ça... Essayons...

Je redessinai donc deux souris de taille à peu près égale, aposai ma main sur le parchemin et concentrai mon chakra.

Mei-Lynn: Ninpô, Kaihou kogate kedamono no jutsu!

Il y eu une petite explosion de fumée blanche, et sous mes yeux apparurent... Une seule souris, entière cette fois ci. Nezu couina face à cet étranger. Vraiment intéressant comme cela pouvait être.. réel... Une vraie souris, mais faite d'encre...
Je laissai le rongeur partie vers l'académie, puis retournai à mon oeuvre. Oui, c'était plus difficile qu'un seule souris... Je recommençai et arrivat au même résultat, peut être même pire: la pauvre bête n'avait ni queue, ni pattes arrière! Ca commençait à me frustrer... Mais après tout, cela semblait normal...

Flash- Back

Professeur: Avoir une maîtrise parfaite de son chakra est une étape longue et difficile. Aussi, voici quelques conseils pour vous aider dans cette tâche: en premier lieu, essayez de vous vider de tout vos sentiments, faites une sorte de nettoyage complet en vous. Ensuite essayez de vous détendre, cela aidera mieux la circulation de votre chakra.

[i]Se détendre et se vider... Comme pour la fois où j'ai du capturer ce chat lors de l'une de mes missions... j'inspirai puis expirai profondément pendant quelques minutes, puis aposai de nouveau ma main sur le parchemin.


Mei-Lynn: Ninpô, Kaihou kogate kedamono no jutsu!

Il y eu cette même petite détonation suivie d'une épaisse fumée blanche, puis sous mes yeux apparurent deux petites souris de couleur noir et gris, l'une entière (pour mon plus grand soulagement) et l'autre lui manquait sa queue, restée "collée" sur le parchemin. C'était déjà un bon résultat...
Je concentrai une nouvelle fois mon chakra- après avoir dessiné deux nouvelles souris, et cette fois je parvins à les faire toutes deux entières. Une sorte de nouvelle petite victoire en soi! Je repris le livre entre mes main, afin de m'exercer à l'étape suivante:

Emprisonner ses créations dans le parchemin:

Une étape peut être relativement simple. Lorsqu'on anime un animal, celui possède la quantité de chakra que son "maître" lui a donné pour le libérer. Ici, il s'agit de reprendre ce chakra, pour faire de cet animal de nouveau un dessin. Une technique fort pratique pour se déplacer sans s'encombrer.

La technique consiste tout simplement à poser son animal sur le parchemin, et ce dernier absobera le bête de lui-même. Cela dit, il faut que ce même parchemin soit celui qui a libéré l'animal. (ou un parchemin qui puisse "absober" le chakra).

Obeissant à cet ouvrage, je pris les deux petite souris, et les posai sur le papier où elle étaient immobiles quelques minutes plus tôt. Presque aussitôt, elles redevinrent de simples petits rongeurs dessinés sur du papier. Vraiment très pratique...

Grisée par cette amélioration rapide, je repris le volume et me mis à lire le chapitre suivant:

Chapitre VII: Les armes d'encre:

Une technique bien utile, qui permet de faire des armes constituées d'encre. Ici, l'arme doit être dessinée en taille réelle (donc la taille que l'on désire d'obtenir). Contrairement à l'animation d'animaux, où une certaine concentration de chakra était demandée, ici, la même chose est nécessaire, mais en plus, il faut "surdoser" pour obtenir une meilleure résistance. Plus il y aura de chakra libéré dans l'arme, plus elle sera solide.
Cela dit, comme pour les animaux, il faut concentrer le chakra selon la taille de l'objet. Donc plus l'arme sera grande, plus il sera compliqué de la libérer.

Il est fortement recommandé de commencer avec des armes petites et simples, comme des Shurikens ou des Kunai. Mais même dans ce cas là, ce sera compliqué.

Avec la bonne volonté que j'avais maintenant, ça ne m'avait pas l'air aussi difficle que la description donnée... Je dessinai donc vite un kunai, et concentrai mon chakra dans le parchemin. Une nouvelle détonation eu lieu, et dans ma main apparu un kunai très semblable aux vrais. Alors que je failli pousser un cri de joie, je remarquai que l'arme se liquéfia en une flaque d'encre.


Mei-Lynn: Et ben... C'est pas gagné.....


Dernière édition par Mei-Lynn Sabishii le 14/3/2008, 22:05, édité 1 fois
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Chikara, village caché du sable [RP] Empty Re: Chikara, village caché du sable [RP]

Message par erol 14/3/2008, 15:32

* Pffff … J’étais même pas pris …. Tant pis … je levai la tête vers le soleil. J’étais sur un poteau à 30 mètres du sol. J’entendais certain Genin de la soule crier pour leur mécontentement et certain pour leur contentement. Mon adversaire Akku était prise …. Celle-là je m’en souviendrai. Une douleur prenait souvent place dans mon bras et ma jambe gauche. L’infirmière a put me soigner mais il me restait des séquelles et des endroits de peau brûlé…. Elle me le paiera…

Je sautai à terre et commença à me diriger vers chez moi. Je croisai plusieurs Genins des autres villages. Je décidai de passer par les petites rues sombres pour ne pas croiser trop de monde. Au bout de cinq minutes de marche, je senti que l’on m’observait. Je me retournai et le sol commença à se soulever juste en dessous de moi. Je sautai en l’air et plusieurs troncs d’arbres sortirent du sol et se dirigèrent vers moi. Je sorti mon sabre et concentrai mon chakra pour m’accrocher aux murs. Les bouts des troncs formèrent un pic. Je sautai sur l’autre mur au dernier moment en coupant plusieurs branches en l’air. Quand je m’accrochai sur l’autre mur un tronc en forme de main le cassa et me prit par le col. Il me colla contre le sol et toutes les branches me ligotèrent. Je ne pouvais plus bouger. Kirin apparut dans un éclat de fumée un sourire aux lèvres.
*


-(Kirin)- Tu as perdu misérable !!
-(Erol)- La ferme !!
-(Kirin)- Pfffff …. Si ça ne tenait qu’à moi je t’entraînerais jusqu’à la mort …
-(Erol)- Tu veux dire qu…
-(Kirin)- Ouais dès demain on part en mission en dehors du village. On doit surveiller une petite ville dans Yuukan …. Il parait que des brigands veulent y faire leurs lois.
-(Erol)- On aura le droit de tuer ?
-(Kirin)- En théorie c’est ce que je ferai tout le temps mais toi vu comment tu t’es fait éjecter du tournoi je pense pas que tu es assez fort.
-(Erol)- La ferme !! Ca me défoulera !!
-(Kirin)- Bien !! Bon je te laisse faut que j’aille remplir le dossier de mission ….. Rendez vous demain 8 heures aux portes du village …. A le prochaine !!


* Il disparut aussi vite qu’il était apparut et l’étreinte des branches fut beaucoup moins pesante. Je coupai les branches qui m’agrippaient avec mon sabre et je me dirigeai vers le terrain d’entraînement. Pour une fois depuis des jours il était presque désert. Je commençai donc à courir autour du terrain en me posant plein de question sur la mission du lendemain. Au bout d’une demi-heure, je décidai d’en savoir plus sur la mission au QG. Je me dirigeai vers le QG en passant toujours par les petites rues. Je mis dix minutes pour arriver au QG. Je me dirigeai vers la salle des missions et je toquai à la porte et attendis. La porte s’ouvrit et je vis deux Chuunins de Chikara sortirent de la salle. Je rentrai dedans et allai voir le Chuunin qui s’occupait des paperasses. *


-(Erol)- Bonjour. Je voudrai savoir en quoi consiste exactement la mission de rang C que je dois exécuter demain avec mon senseï ?
-(Chuunin)- Hum …. Quel est le nom de ton senseï ?
-(Erol)- Kirin.
-(Chuunin)- Alors, Kirin …. Donne moi deux petites secondes … “ Cherchant dans ses papiers ” Voila. Alors déjà il y aura un Chuunin que vous devrez rejoindre là-bas. Sinon la mission c’est protéger un quartier d’un petit village de commerçant au centre de Yuukan. Beuh …. C’est une mission de rang C donc te fais pas trop de soucie petit.
-(Erol)- Je me fais pas de soucie !! Est-ce que j’ai dit que je me faisais du soucie ?? C’est pour connaître la mission que je suis venus pas parce que j’ai peur c’est clair ?? Moi j’ai pas peur !! Je me fais pas de soucie !!
-(Chuunin)- …….. Ok……


* Je sorti du bureau en claquant la porte, furieux. Je me dirigeai vers chez moi en prenant par les toits : si je rencontrai quelqu’un d’un autre village il y aurait eut un meurtre. Je rentrai donc chez moi et passai la soirée à essayer de me calmer.

Le lendemain je me réveillai de bonne heure et me préparai pour ma mission. J’étais très excité à l’idée de pouvoir tuer des gens. Enfin mon désire sera satisfait. Je fini de me préparer en vitesse et alla vite aux portes du village. Mon senseï y était déjà et quant il me vu arriver il me donna un coup de poing pour 12 secondes de retard. Je voulu répliquer de suite mais il me dit qu’on était pressé car une attaque devait avoir lieu dans l’après midi. Le village était à 5 heures d’ici mais il fallait quand même mieux se presser. Mon senseï commença à courir et je fis de même.

Une heure plus tard nous fîmes une pause et j’en profitai pour me reposer.
*


-(Kirin)- Chiffe molle !!
-(Erol)- La ferme !! pffff …. Pffff … J’suis pas comme toi !! pfff ….


Un tronc en forme de main sortit du sol et m’étrangla pendant quelques secondes. 10 minutes plus tard nous étions partit. La fin du voyage se passa sans problème. Une halte toute les 45 minutes à peu près. Au bout de 3 heures nous quittâmes le désert.
Après 4 heures 30 de course, nous arrivâmes à une colline où l’on voyait un petit point noir à l’horizon.
*


-(Kirin)- Tu vois le point noir là-bas ?? C’est le village !! On y est presque !!
-(Erol)- Ok !!

* 45 minutes plus tard nous étions à destination. Il n’y avait personne dans les rues. Les volets étaient fermés et c’était très calme ... trop calme !! Nous marchâmes quelques minutes sans échanger un mot et arrivâmes à se qui semblait une grande place. Nous nous dirigeâmes vers la fontaine qui était en son centre quand mon senseï me poussa sur le côté. Je tombai par terre et vu un kunai se planter là où j’étais quelque secondes auparavant. Je me relevai et regardai vers où le kunai avait été lancé. Un homme se tenait sur le toit. *


-(Erol)- Un brigand ?? Déjà ? Je croyais qu’il se battait qu’avec des fourches ou autres ?! Pas avec des kunais ?!
-(Kirin)- Mais fermes la un peu !! C’est sûrement un mercenaire shinobi qui a été « loué » par les brigands. Fais gaffe !! Il est bien plus fort que toi !! Chiffe molle !!
-(Erol)- La ferme !!


* L’homme disparu et réapparut à 5 mètres de nous. Il était très rapide. *


-(Homme)- Qui êtes vous et que voulez vous vermine !!
-(Kirin)- Erol tu restes en retrait si tu veux pas crever !!
-(Erol)- J’peux très bien le tuer tout seul !!


* Je sorti mon sabre et couru vers l’homme. Il disparu et réapparu derrière moi un kunai à la main. Je parai et fut éjecté par une branche d’arbre qui avait poussé du sol. D’autres branches s’enroulèrent autour de moi et m’empêchèrent de bouger. *


-(Homme)- Vous êtes des shinobi de Chikara ?
-(Erol)- Putain de bordel de merde !! Arrête ça !! Laisse moi sortir !
-(Kirin)- La ferme Erol !! Si j’avais pas fais ça tu serais mort imbécile !
-(Homme)- Hoo….
-(Erol)- Mais nan j’allais parer … Tu m’as tout fait rater !
-(Homme)- Hum hum …
-(Kirin)- Tu parles il a le niveau d’un Chuunin et tu veux te battre contre lui !! Sale con t’es tellement nul !
-(Homme)- Mais vous allez m’écoutez bordel !! Je suis le Chuunin qui protégeait ce village jusqu’à maintenant !! Donc je suis désolé de vous avoir attaquez mais j’ai cru que vous étiez des brigands !!
-(Erol)- …
-(Kirin)- … Euh … Ouais ok. Donc on est en mission nous et on doit t’aider à défendre le village. Enfin c’est ce qu’on dit dans notre mission.
-(Homme)- Ouais. Bon je vais me présenter, Makouno Chuunin de Chikara.
-(Erol)- Euh … Erol Genin de Chikara.
-(Kirin)- Kirin … Enfin, ma réputation est venus à tes oreilles non ?
-( Makouno)- Comment pourrait-on ignorer l’existence du célèbre Kirin à l’affinité Mokuton ?


* Kirin me dégagea des branches et nous allâmes dans une petite maison. Nous discutâmes quelques minutes quand l’homme regarda sa montre. *


-( Makouno)- Les personnes qui habitent dans ce village ne vont pas tarder à sortir. Dans à peu près 1 heure les barbares arriveront. La dernière fois ils étaient une dizaine. Ils ne sont pas fort mais plus on en attaque plu il en vient. Enfin, je vous laisse découvrir le village et ses alentours. J’vais surveiller le flanc ouest.


* Il disparu dans un éclat de fumée et mon senseï et moi visitâmes le village … *
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Message par Mei-Lynn Sabishii 14/3/2008, 23:49

[HRP]Désolée si c'est très court, mais RP entrainement, je n'arrive jamais à faire très gros....[/HRP]

Oui, c'était vraiment pas gagné... Beaucoup plus difficile que prévu même. Ne me laissant pas me décourager, je recommençai la manœuvre, mais j'arrivai au même résultat: le kunai était bien en forme dans ma main, mais il se liquéfiait quelques secondes après... Voilà ce que le livre voulait dire par "surdosage de chakra"....

Pensée: Allons Mei! C'est pas en te lamentant que tu vas y arriver! Un peu de nerfs!

Mais je pensai à une chose... Pourquoi ne pas commencer avec des shuriken? Peut être ce que cela me rendrai la tâche plus aisée.... Cette fois, je dessinai soigneusement une étoile ninja sur mon parchemin, aposai ma main dessus, et dans l'habituelle détonation suivie de fumée blanche, un shuriken noir était apparu dans ma main, presque aussitôt, il se liquéfia. Shimatta... Même pour un simple shuriken... Je fis un nouvel essai, et un résultat identique: liquéfaction de l'arme... Je commençais déjà à désespérer. Je relu le chapitre une seconde fois, histoire de voir si je n'avais pas oublié un détail, ou même un conseil... Rien. Absolument rien qui puisse m'aider pour cette technique. Et personne pour pouvoir m'aider dans cette tâche... J'étais donc seule, comme toujours...

Pensée: Réfléchis Mei, réfléchis...

Les souris... Mon dessin de shuriken était d'une à peu près similaire à celui d'une souris. Faisant un rapide calcul, il fallait au moins une dose de chakra pour la libération, et une autre dose, de même quantité, pour la "solidité", tout du moins pour un minimum d'efficacité.
Je peignis de nouveau une étoile ninja, et fis comme si je souhaitais animer deux souris. Gagné, dans le petit panache de fumée blanche apparu un shuriken noir, qui ne se liquéfia pas. Restait à tester sa solidité. A quelques mètres de la se trouvait un poteau de bois, parfait pour pouvoir tester mon arme d'encre. Je me plaçai bien en face du poteau et lançai vivement mon shuriken. Il s'écrasa contre la paroi de bois comme un gâteau s'écraserait après l'avoir lancé. Bon, niveau solidité, c'est pas encore ça.
Je remarquai bien vite que j'étais loin de maîtriser cette technique: je parvenais à maintenir la forme solide du shuriken une fois sur deux, la tentative réussie échouant au moment du lancer sur le morceau de bois. Si je galérais pour une arme aussi simple, qu'est-ce que ce sera avec des armes plus grosses.... Bon, surtout ne pas penser au futur, cela me déconcentrerait encore plus...
Après cinq nouveaux essai, je commençai à ressentir les premiers effets de la fatigue, autant continuer plus tard. Je pris mon livre et m'amusait à tourner les pages de théories et d'histoires. C'était fou... Peu de shinobi utilisaient les techniques de dessin, considérant que c'était superflu, ou même ignoraient l'existence d'une telle technique. Dans la partie réservée à l'apprentissage je découvris des techniques invraisemblables: faire des clones d'encre, créer des parties du corps supplémentaires comme des ailes... Ce bouquin était une mine d'or... Mais bon, j'étais déjà bloquée pour la création d'armes, alors pour ces fameux clones et ailes d'encre, ça pouvait attendre.

Pensée: Bon, j'ai assez rêvassé, reprenons.

Sans tenir du début de fatigue qui me guettait, je recommençai mon œuvre,insistant davantage, mais rien n'y faisait. Tantôt l'arme avait une consistance solide, tantôt elle se liquéfiait. Il devait forcément y avoir un truc... Mais quoi?
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Message par Izyroth 15/3/2008, 18:23

Ouf, le tournoi allait bientôt se terminer.
Je me demandais ce que nous allions faire une fois tout cela terminé, avec Kezashi, Mei, et Evaline. En tous cas, j’avais eu ma dose d’arbitrage pour un petit moment.
Profitant d’un moment de liberté, je décidai de sortir du Q.G. de Chikara, seul, pour aller me balader dans les rues du village prendre l’air, mais aussi pour reprendre un peu l’entraînement. En effet, ce tournoi ne nous faisait pas progresser d’un pouce, nous, les juges.

D’un pas tranquille, j’avançai sur une des allées du village où s’entassaient sur les bords des tas de magasins de toutes sortes et où se bousculaient des marchands et vendeurs qui ventaient leurs produits. On vendait dans ce coin là des choses en tout genre : souvenirs et spécialités du village dont des plats, armes et armures, déguisements, habits de la dernière tendance… Mais à vrai dire, tout ce beau ramassis d’objets ne m’intéressait pas vraiment.
Il régnait en cet endroit la lourde chaleur du désert, ce qui me donnait à chaque seconde l’envie de retrouver l’air frais et vivifiant de Gensou et de sa cascade.

Je m’hasardai à travers les ruelles de Chikara pour y trouver un espace où je pourrai m’entraîner convenablement. Je demandai néanmoins à un passant, un vieil homme, s’il savait où je pourrai trouver mon petit coin. Il me dévisagea tout d’abord avec un drôle d’air, puis vis le signe gravé sur le bandeau qui me passait en travers du front. L’air amusé, il pointa du doigt une rue sur sa gauche qui débouchait sur une surface plate. Quelque peu gêné, je le remerciai, et rejoignait un vaste terrain sablonneux bordé de verdure.
Une bonne quantité de shinobis s’y entraînaient, laissant entendre les fracas d’armes s’entrechoquant et deux / trois explosions de temps en temps. Si je n’avais rien entendu à tout ceci lorsque j’étais encore dans la rue, c’était tout simplement parce que ces bruits étaient masqués par le bruit de la foule…
Ainsi, c’était parfait. J’allais sur une partie du terrain inoccupée et me mettait à l’ombre fine d’un arbre. Je restai ainsi un moment à réfléchir.

Je voulais perfectionner une technique d’os que j’avais déjà commencé de mettre au point à Gensou, mais qui était encore très loin d’être parfaite. Je m’échauffais tout d’abord en lançant quelques lames d’os, kunais, et shurikens sur l’arbre qui m’avait protégé de son ombre du soleil tapant dans mes réflexions. Je les lançais de différentes façons, en mouvement, la plupart du temps. Je voulais avoir la plus grande précision possible lors de mes attaques à distance, dans toutes les situations. Mais je ne voulais pas m’attardait sur ça, car le but de cet entraînement était d’une toute autre trempe.
Distancé de 6 petits mètres de mon unique cible, je préférais commencer de cette façon là la technique que je voulais pour l’heure peaufiner.

Izyroth : Sakeme Hone No Jutsu !
Je tapai alors du pied, laissant échapper un très léger bruit de tremblement de terre. En une fraction de seconde, la terre commençait à s’ouvrir devant moi. L’ouverture grandissait progressivement et j’essayais au mieux d’y faire sortir des os. Mais la terre s’ouvrait plus vite que les os, qui eux, sortaient pointés dans tous les sens et avec une irrégularité déconcertante. Mais en fin de compte, tout ça s’enchaînait bien trop lentement. En combat, mon adversaire aurait eu le temps d’esquiver la technique sept à huit fois… De plus, cette technique de ma propre conception s’arrêtait avant l’arbre. Je n’arrivais pas à ouvrir suffisamment le sol. Effectuer une technique pareille se révélait être très difficile à ce niveau instable.
Ce qu’il me fallait faire ne se résumait qu’à ouvrir la terre en expulsant le plus violemment possible sur ses parois et en continu une forte d’ose de chakra et à en faire sortir des os que je formai bien alignés en profondeur, toujours avec mon chakra. Cependant, je n’y arrivai que sur une longueur de deux mètres, parfois deux mètres et demi, avec un résultat pour le moins très moyen. A vrai dire, rien que la première étape m’épuisait déjà beaucoup. Je réalisai que pour l’apprentissage de cette techniques, deux solutions, même deux obligations s’offraient à moi : prendre mon temps, et surtout, la distance par étape.
Toujours en face et à un espace de l’arbre cette fois-ci « raisonnable », je me concentrai et faisait le vide autour de moi, ainsi que dans mes pensées.
Un peu d’air flottait à la surface des choses, se glissant au dessus des rameaux ornant le peu d’arbres présents et faisant gémir les feuilles naissantes des massifs… Je relevai la tête vers l’arbre à la carrure imposante.

Izyroth : Maintenant.
Je tapai d’un geste brutale de mon pied au sol. La terre se fissura de nouveau, et les deux parois séparées s’écartaient difficilement et avec peine. Un os sortit, puis deux, puis trois, jusqu’à ce qu’il y en ait environ sept à la surface du sol. J’étais déjà assez content de ma prestation… Je jetai un œil dans la faille pour y apercevoir que des os y étaient restés coincés. Je ne pouvais m’empêcher de faire une grimace devant tant de chakra gaspillé inutilement. Cette technique n’était vraiment pas prête pour une situation réelle… Mais je ne voulais pas y renoncer. Je m’étais décider de rester sur cette technique jusqu’à l’annonce des résultats du 2ème tour du tournoi, dans l’après-midi. Quoiqu’il se pouvait que je ne tienne même pas d’ici là… Perdu dans mes pensées, je revenais à la réalité. C’était reparti.
Je me concentrai, et faisait s’introduire dans le sol du chakra de mes pieds pour la formation des os, car oui, cette technique nécessitait au début toute une préparation. J’imaginai dans ma tête les os que je formai, prêts à être expulser à l’air. Je poussai un demi cri, libérant ainsi ma force, et tapai une fois de plus le sol du pied. Comme toujours, les parois du sol cassé avaient du mal à s’écarter l’une de l’autre. J’expulsai alors, une fois la voie ouverte, les os du sol qui donnaient l’impression de sortir un peu hasardement. Cette fois ci, je pouvais compter huit os. Changeant sans cesse de place en tournant autour de mon arbre, j’en faisais rapidement le tour avec un petit paquet d’essais de plus, et arrivai presque à la faille du premier essai à deux mètres et demi de l’arbre. Motivé de faire encore mieux que les autres fois, j’utilisai le reste de chakra qu’il y avait en moi pour ce dernier essai, où, cette fois-ci, je pus constater avec surprise et joie une entaille dans l’arbre. Certes, l’entaille n’était pas bien grande, mais cela suffisait pour me combler.
Puis la pensée de séparer la technique en deux étapes me vint alors : commencer par apprendre à bien séparer les parois du sol serait déjà bien. Les os, eux, devraient être plus simples à faire sortir une fois ceci maîtrisé.
Dans mon esprit de bourrin, je me dis alors que je devrais peut-être faire ça lors de mon prochain entraînement car, exténué et tenant à peine sur mes jambes, je ne pouvais plus que rentrer au Q.G. prendre du repos avant les résultats.
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Message par Cacaunoy MARWAIS 15/3/2008, 21:35

L'hopital quel sinistre endroit, partout cette odeur de stérile comme si toutes odeurs humaines avaient été anéantis par une avalanche de javel.
Je jettais un rapide coup d'oeil au tableau des chambres en cherchant un nom précis.
Cacaunoy : "Chiraku Mizu......voila chambre 31."
Qui est Chiraku ?
Qui est-ce ? Un ancien ami mais ce n'est plus le cas.
Alors pourquoi allez le voir ? Tu est trés contradictoire dis donc.
Il avait raison lorsque j'avais appris que Chiraku était à l'hopital, aprés son combat contre l'ours, je m'étais tout de suite dirigée vers lui.
Je veux juste me payer sa téte, c'est tout.
J'arrivais devant la chambre 31 comme le reste du batiment la porte était d'une blancheur écarlate.
Je suppose qu'il faut frapper avant toute chose.
Grrr, c'est bon je sais ça.
Je levais mon poing puis l'abaissa sur la porte pour toquer deux fois à celle-ci, aprés quelques secondes d'attente une voix se fit entendre.
Chiraku : "Entrez !"
J'entrais pour finalement voir un chiraku recouvert de bandages avec une perfusion au bras droit.
Cacaunoy : "Décidemment l'ours t'as pas raté."
Il me regardait avec un air interloqué, puis il esquissa un sourir joyeux.
Chiraku : "Je savais que tu étais là."
Cacaunoy : "De quoi parles-tu ? Je suis venue par pur hasard."
Encore une fois il souriait, décidemment il était toujours aussi baka, toujours aussi joyeux et calme.
Cacaunoy : "Je suis venue voir ta téte aprés avoir été défoncé par l'autre ours."
Chiraku : "Cacau, il s'apelle Hisoka."
Cacaunoy : "On s'en fout, je voulais juste te dire qu'à partir d'aujourd'hui je ne me laisserai plus jamais dépasser par toi."
Il fit les yeux ronds comme surpris par cette remarque impromptue.
Chiraku : "Comme si je t'avais dépassé, tu sais en fait depuis que je t'ai rencontré j'ai trouvé une sorte de nouvelle motivation comme une sorte d'envie de ne pas être dérriére toi et de te suivre au même niveau pour pouvoir te protéger même si tu n'en as pas vraiment besoin."
Il rigola de sa pointe d'humour mais une douleur le bloqua instantanément, son corps était encore faible.
Cacaunoy : "Arréte de jouer au comique, j'ai pas envie de te porter lors de notre retour à Gensou. Il te faut combien de jours de repos avant d'être opérationnel ?"
Chiraku : "D'aprés le médecin, d'ici deux jours je pourrais reprendre une activité normale."
J'esquissais un de mes sourires fétiches, celui qui voulait dire le plus de choses.
Chiraku : "Laisse-moi deviner, dans deux jours on s'entraine ?"
Cacaunoy : "T'as tout compris, j'ai besoin de ta technique aiguilles aqueuses pour me perfectionner au style Migite."
A l'évocation du nom Migite Chiraku pris une expression surprise.
Chiraku : "Comment peux-tu connaitre le style Migite, toi qui séchais la plus part des cours de l'académie ?"
Merde, je ne peut pas lui dire sinon il va me prendre pour une véritable folle.
De toute façon il est ton ami, le fait d'avoir un sensei spécialiste du style Migite ne communiquant qu'avec toi par la pensée n'est pas si exceptionnel que ça.
Je ne cherche même pas à déceller la pointe de ironie cachée dans cette réplique.
Cacaunoy : "Okay, je vais tout te raconter mais aucun commentaire avant que j'ai fini !"
Il hocha la téte en signe d'aprobation.
Cacaunoy : "Lors du début du tournoi, j'étais entrain de vagabonder dans la rue lorsque qu'une voix se fit entendre dans ma téte, je croyais devenir folle mais peu de temps aprés mon élimination elle est revenue, elle m'a expliqué que j'avais un potentiel certain pour apprendre le style Migite, dés lors je m'entraine depuis deux semaines à parfaire mon endurance, ma résistance et ma force."
Aprés cette explication le silence se fit dans la chambre, Chiraku semblait analyser toute cette histoire.
Chiraku : "Comment, comment tu peux entendre cette voix ?"
Cacaunoy : "C'est ça le probléme, avant je n'avais jamais entendu cette voix mais maintenant je communique avec elle à tout moment !"
Chiraku : "Attends, cela veut dire que en ce moment tu communiques avec elle ?"
Cacaunoy : "Juste lorsque je lui parle directement par le biais de mes pensées ou lorsque qu'elle s'adresse à moi."
Chiraku : "Tu devrais demander à cette "voix" pourquoi elle te parle."
Cacaunoy : "C'est déja fait mais elle refuse de me dire le pourquoi du comment pour l'instant !"
Ne me fait pas non plus passer pour quelqu'un de perfide.
Cacaunoy : "Là par exemple elle vient de me parler !"
Chiraku : "Okay, on va arréter là pour le moment dés qu'on rentrera à Gensou nous irons faire des recherches pour mettre tout ceci au clair."
Cacaunoy : "Je trouve que tout est parfaitement limpide, j'entend une voix spécialiste du style Migite et m'apprenant à la maitriser !"
Chiraku : "Réfléchie deux secondes, pourquoi toi ? Pourquoi maintenant ? Pourquoi le style Migite ?"
Cacaunoy : "J'avoue que sur ce point tout semble floue."
Chiraku : "Avec le temps on finira bien par trouver une explication valable."
T'inquiète pas mon coco je en donnerai une tôt ou tard.
Plus tôt que tard de préférence.
Cacaunoy : "Bon c'est pas tout mais va falloir que je rentre pour pas rater le repas."
Chiraku : "La nourriture de la cantine est toujours aussi mauvaise ?"
Cacaunoy : "Toujours, j'y vais."
Me voyant partir Chiraku perdit son habituel sourire comme si la récrée était terminée.
Cacaunoy : "Ah au fait, rendez-vous dans deux jours au QG pour un entrainement."
Chiraku : "Ca marche, Cacau.........je suis content que l'on soit toujours amis."
Je fis un mouvement de téte pour pouvoir le regarder bien en face.
Cacaunoy : "Pfff, ne plonges pas dans le mélo ça ne te réussis vraiment pas, mais moi aussi je suis fière de ça."
Je quittais alors la chambre de Chiraku pour retrouver l'atmosphère stérile de l'hopital et de ses habitants.
Ca n'a pas l'air d'être un ancien ami finalement.
C'est bon arréte avec ça, sinon quand compte tu me dires la vérité sur ton existence ?
Mon dieu tu n'es vraiment pas patiente ! Tu le sauras quend je l'aurai décidé.
Je sortais de l'hopital lorsque je senti un regard se poser sur moi, je me retournais rapidement pour voir Chiraku à la fenétre de sa chambre.
Je pense que maintenant il va vouloir te surveiller aprés tes révélations sur mon existence.
Quel Baka.
Je fis demi-tour pour rentrer au QG.




Une fois arrivée au quartier général de Chikara je fis un crochet vers le réfectoire.
La cantine était aussi bruyante que l'hopital était stéril, lors de mon entrée une cinquantaine de genins de Mahou et Chikara participaient à une bataille générale de purée.
Quel bande de gamins, dire que ceux sont des futurs shinobi de haut rang.
Les seuls genins qui valent le coup de ce fourbis sont les participants aux quarts de final.
Je m'arréta en entendant cette remarque perfide.
Va te faire foutre, je sais que je n'ai pas leurs niveaux.
Mais les choses vont changer, fais-moi une promesse Cacau.
Ca dépend la quelle.
Promet-moi que tu suivras jusqu'à la maitrise parfaite mon enseignement du style Migite, je veux que tu deviennes le Migite Kiyoujin de ce siécle.
Pourquoi, pourquoi moi ?
Tu as quelque chose que tout les grands maitres Migite possédent et qui te destine à les rejoindre mais avant tu dois travailler jusqu'à dépasser les limites humaines, es-tu préte pour ça ?
Je serrais mon poing gauche, celui où mon pére m'avait infliger le cicatrice, je n'avais jamais ressenti une telle bouffé de rage, d'envie et d'impatience tout ces sentiments étaient comme un raz de marée dans ma téte.
Bien sur que je suis préte, je veux montrer de quoi sont capables les Marwais.
Parfait, maintenant vas manger un bout.
Je me faufilais entre les jets de purée et les bousculades jusqu'au self pour pouvoir prendre un plateau de nourriture, celui-çi composé d'un plat principal et d'un dessert semblait rempli au bord du trop plein.
Je jettais un regard circulaire à l'ensemble de la piéce pour trouver un endroit épargné par l'orgie ambiante, un coin au fond semblait être cet eden tant recherché.
Une fois assise j'entrepris de commencer mon repas, une demi heure plus tard ce fut chose faite.
Bien autant profiter de mon temps libre pour faire un peu de musculation.[b]
J'aime cet esprit, pour éviter de ressembler à un monstre bois beaucoup d'eau.
[b]okay, bien noté chef.

Je montais à l'étage pour rejoindre l'immense salle de musculation, celle-çi était un véritable paradis pour tout les culturistes, tout les appareils existants en ce monde étaient réunis en un même et seul endroit.
Va vers l'appareil à gauche comme ça tu ferras travailler l'ensemble de tes muscles.
L'engin en question semblait être tout droit sorti des enfers, tout était fait pour faire travailler l'ensemble des muscles sans aucun désistement.
Aprés quelques minutes d'apprentissage je commencais à travailler sérieusement, au bout de dix minutes à une allure rapide je sentis de fortes contractions sur l'ensemble de mon corps si bien que je ralentis l'allure.
Lorsque je sentis mon corps arriver vers sa limite je pris la décision d'arréter pour aujourd'hui j'avais déja passé plus d'une demi heure sur l'appareil.
C'est bon pour aujourd'hui vas prendre une douche et direction ton lit.
Yep chef !
Une fois dans ma chambre mes yeux s'attardèrent sur la nuit étoilée.
Je vais devenir une légende, une légende du Taijutsu.
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Message par Evaline 15/3/2008, 22:57

Quelle chaleur! Le seul avantage était le manque d'humidité, au moins ses voisins ne transpiraient pas trop sur les gradins de l'arène. Evaline but une gorgée d'eau et se leva. Le prochain match ne commencerait pas avant quelques heures, elle avait le temps d'aller faire un tour.

Les rues étaient bondées depuis le début du tournoi, assez étonnant étant donné que l'événement ne regroupait que des genins. Genins toutefois prometteurs pour beaucoup d'entre eux. Si ceux de Gensou étaient plus nombreux, ceux des autres villages avaient majoritairement tenus jusqu'à la phase finale.

La jeune femme déambulait dans les rues de sa démarche chaloupée, sourire aux lèvres. Finalement c'était plaisant d'être la de ne plus servir des poivrots nuits et jours. Même si elle devait obéir aux ordres de l'aveugle.
Evaline cligna des yeux, celui la elle l'avait reconnu, chunnin et juge du tournoi, provenant de Gensou. Le sensei de Mei-Lynn. Il marchait en direction du quartier général, les yeux cernés mais ses cheveux éternellement hérissés tout comme les pics d'un hérisson.

Evaline: - Salut a toi Iziroth!

Iziroth: - Oh non pas elle... mais... "son visage trahissait a la fois la fatigue et de la surprise" ...tu sais donc être aimable de temps en temps?
Evaline se contenta de continuer a sourire. Iziroth soupira voyant sa pique tout a fait inutile et ne perturbant pas la jeune femme.
Excuse moi Evaline, mais je dois aller attendre les résultats au QG. Ceci dit tu devrais suivre cette rue il y a un terrain d'entrainement la bas. Si tu comptes bien rester avec nous, cela ne ferait pas de mal de t'y rendre.

Le chuunin continua son chemin n'attendant pas de réponses. La jolie jeune femme lorgna quand a elle les magasins de vêtements un instant avant de prendre la direction indiquée par Iziroth. Elle aurait du temps pour ramener des souvenirs a Gensou. Elle avait jusqu'à la finale au moins.

Après quelques minutes de marche elle arriva finalement sur la place sablonneuse entourée par quelques arbres tordus par la chaleur. L'endroit était plein de shinobis s'entrainant les uns avec les autres ou en solitaire. Majoritairement des genins vu le niveau, même si certains se débrouillaient bien ils semblaient inférieurs a ceux ayant participé au tournoi. Notamment ce Takeshi. Evaline se massa la joue en souvenir d'un coup douloureux. Son regard se posa finalement sur deux chikarates un peu plus vieux que ceux qui les entouraient. Cela devaient être des genins et les autres de simples membres de l'académie peut être. Leurs mouvements étaient fluides et rapides. Le taijutsu chikarate n'avait pas a pâlir de sa réputation et était visiblement bien à la hauteur de ce qu'on en disait.

La jeune femme grimpa sur un des arbres tordus, profitant ainsi du peu d'ombre qu'il lui fournissait et d'une place en hauteur pour "espionner" le combat. Peu de gestes superflus, ce style de combat recherchait l'efficacité avant tout. Evaline secoua la tête ne perdant pas une miette. Non tout style de combat cherchait l'efficacité mais d'une manière différente. C'était ça le secret. Le tout était a tout moment de pouvoir analyser la façon de chaque style d'être efficace. C'était la base de son propre taisen baisuu.

Les deux genins cessèrent le combat se saluant l'un l'autre. L'un d'entre eux partit s'assoir a l'ombre alors que l'autre se retourna, fixant Evaline.


genin: _Mademoiselle vous participiez au tournoi n'est ce pas?
Evaline a la fois surprise et ravie d'avoir été reconnue hocha lentement la tête attendant la suite.
Je n'ai moi même pas pu y participé, en mission au début du tournoi. Aussi serait ce un plaisir de m'entrainer avec vous.

Evaline: Tout le plaisir sera pour moi.

La jeune femme sauta de sa branche pour atterrir en douceur en bas de l'arbre. Elle répondit d'un hochement de tête au salut rituel du chikarate.
Les deux genins se mirent en garde et le chikarate bondit sue la gensouarde. Ses attaques rapides avaient pour but de tester sa défense alternant entre des attaques au poings et aux pieds pour la faire reculer. Chaque coup un peu plus appuyé et un peu plus rapide.
Evaline s'occupait de bloquer les attaques une a une tentant de comprendre l'enchainement, quand une attaque basse traversa sa garde et vint percuter ses abdominaux lui coupant momentanément le souffle. Le chikarate bondit en arrière laissant a la jeune femme le temps de reprendre son souffle.


Genin: Vous sembliez bien plus habile face aux clones de Takeshi. Pardonnez moi si j'y suis allé un peu fort.

Evaline: ne t'en fais pas... reprenons.
Voila son problème, elle ne pouvait analyser un nouveau style assez rapidement. Elle n'avait pas les yeux pour cela. Elle était forcé de l'apprendre ou de l'observer longuement. Evaline sourit. Et bien il suffirait de voyager et d'affronter le plus de shinobis possible pour étendre le répertoire de son propre taijutsu.

La jolie jeune femme se remit en garde et chargea a son tour son adversaire. Le chikarate arma sa jambe et fouetta l'air visant les cotes de la jeune femme, celle ci parvint a prendre appui sur la jambe, et d'une impulsion frappa le torse de son adversaire des deux pieds. celui ci parvint a amortir le choc tout en se projetant en arrière. Ne lui laissant pas de répis Evaline réduisit de nouveau la distance testant a son tour la défense de son adversaire d'un enchainement de coups de poings rapides suivi d'un fauchage. Le chikarate d'un bond évita la balayette lançant son pieds d'un même mouvement pour frapper la gensouarde au visage. Une roulade de coté et une seconde balayette, alors que le chikarate atterrissait, l'envoya cette fois au sol.

Evaline: Excuse moi ... j'y suis peut être allée un peu fort?

Le chikarate répondit par un sourire se relevant aisément.

Genin: Votre taijutsu est honorable mademoiselle. Nous reprendrons cela plus tard, les combats vont reprendre dans
l'arène.

Le chikarate s'inclina une nouvelle fois et accompagna Evaline jusqu'au centre du village ou se trouvait l'arène pour assister aux derniers matchs.
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Message par kakachi2 16/3/2008, 15:37

06H00
Bip. Bip. Bip. Bip.
(Gui) merde, c’est jour de repos aujourd’hui, pourquoi il sonne ? Oh et puis flute, je me rendors.
-une demi-heure plus tard-
(Mère) GUI, DEBOUT TU ES EN RETARD !
(gui,) voix ensommeillée) mais maman c’est jour de repos…
(Mère) je veu pas le savoir, tu te ne te reposeras que lorsque tu auras des résultats acceptables.
(Gui, pensée) flute elle va pas me lacher ci ça concerne les notes.
(Gui )ok j’arrive.
-une demi-heuree plus tard-
(mère)[/b] GUI, DESCEND
(Gui) ça va, ça va, (baille) j’arrive.
(Mère) dépêche-toi, ils ont besoin de moi aux serres, Il y a un gennin qui a perdu la mémoire et il va falloir que je les aide.
(Gui) Ok…je le connais ?
(Mère) Qui ? Le gennin ?
(gui) Non, le kage…
(Mère) pas drôle… et ce gennin tu ne le connais pas.
(gui )ok, je vais aller aux commerces…
(Mère) Pas question, tu vas à l’Académie !
(gui )mais…
(Mère )Pas de mais tu vas à l’Académie et je vérifierais.
Elle exécute puis disparaît dans un nuage de fumée.
(gui )Bon, bas il faut y aller…elle me Soule
Je sors en marchant tranquillement, les mains dans les poches. A mi-chemin de l’Académie, je rencontrais Hatsu, un gennin de ma classe, un peu « enrobé » qui fait passer sa graisse pour des muscles et qui aimait embetter les autres, draguer et essayer de faire croire que je suis un gros pervers.
(Hatsu) Hey, salut Gui !
(Gui)-pensée- oh merde pas lui –a haute voix- Salut qu’est que tu veu ?
(Hatsu) Savoir ou tu vas.
(Gui) A la bibliothèque de l’Académie, ma mère veu pas me lâcher avec mes résultats.
(Hatsu) T’est sur que t’i vont que pour étudier ? Y a plusieurs jolies filles qui on dit qu’elles allaient aussi aller à la bibliothèque aujourd’hui… Alors, tu vas étudier ou mater ?
(Gui) …Boulet ! …
(Hatsu) T’a dis quoi ?
(Gui) Que t’était un boulet
(Hatsu) –me fonce dessus- Technique de l’écrasement !
(Gui) –pensée- merde
-je concentrais mon chakra dans mes pieds et me mis à courir le plus vite possible pour échapper à cette furie humaine. Une fois arrivées est l’Académie, il ma laissa tranquille car même lors des jours de repos il y avait toujours un surveillant.
Une fois arrivées est la bibliothèque, je relâchais mon chakra puis me dirigeait vers les rayons supportant les nombreux tomes de « l’encyclopédie des techniques anciennes de Chikara et je pris le livre traitant des techniques doton de contrôle dus sable.
Ce livre était passionnant, il expliquait bien des choses sur les jutsus de contrôle du sable qui avaient maîtrisé tout au long de l’histoire de Chikara.Cependant il ne faisait aucune mention des techniques que je maîtrisais, ni même approchant ce que je recherchais. Il semble que l’affinité la plus répandue à Chikara ait surtout servi à écraser de toutes les manières possibles mais n’avait jamais servi à rien d’autres.
Cependant, en passant en revue les autres volumes sur les techniques doton, je finis par trouver une mention intéressante. En effet, il mentionnait l’existence d’un sable spécial présent seulement a Chikara et qui pouvait se mêler au chakra pour répondre uniquement a son propriétaire. Le mode opératoire était très bien détaille, mais une seule zone d’ombre demeurait, le sable nécessaire a la fabrication de ce sable personnalisé ne se trouvait que dans un seul endroit et cet endroit n’était pas spécifié dans le livre.
Après avoir noté le mode opératoire, je me jetais vers le rayon géographie et les rayons de géologie de Yuukan, mais sans succès[/i.
Je me dirigeais donc vers la documentaliste.
(Gui)excusez-moi, je cherche un renseignement.
(Documentaliste) Oui, que cherche tu Gui ?
(Gui )Des renseignements sur le sable spécial ce Chikara, vous savez, celui qui se lie avec le chakra de son propriétaire.
(Documentaliste) Tout les doton peuvent lier leur chakra au sable ou a la terre.
(Gui) Je sais mais il en existe un qui une fois liées une fois au chakra d’une personne ne réagit qu’a cette personne
(Documentaliste) Ah, celui-la ! Je ne peu pas t’aider, le seul ouvrage ou on en parle c’est l’[i]encyclopédie des techniques anciennes de Chikara
. Si tu m’en parle, c’est que tu l’as lu. Je ne peu donc pas t’aider, il y a peu de documents écrivent sur ce sable, c’est une mesure de sécurité.
(Gui )OK, merci. Je vais me débrouiller avec ma mère pour continuer mes recherches.
(Documentaliste) Telle que je la connais, elle ne croira pas que tu cherche à t’améliorer, mais tu peu toujours essayer.
[b](Gui )
Bon, au-revoir, il faut que j’y aille.
Je me dirigeais lentement vers la porte quand une pensée me vient soudain.
(Gui )pensée Zut, tel que je le connais, Hatsu vas m’attendre. Réfléchis, comment me sortir de cette merde.
j’entrebâillais la porte, et, constatait que Hatsu m’attendait effectivement devant les grilles de l’Académie.
(Gui )Bon…-réfléchis-…Hum oui, ça peu marcher.
Je sortis complètement et composait quelques signes tout en courrant vers les grilles, au moment ou je sautais par-dessus, je lançais
(Gui )Doton,Suna no sen kagibari!
aussitôt, le sable que je transportai dans mes poches en sortit, se forma en senbons et fonça vers Hatsu qui du éviter, ce qui me permit de filer sans qu’il puisse me rattraper.
Après avoir échappé à Hatsu, je me dirigeais vers chez moi pourvoir si mes parents étaient rentrés. Bien entendu, aucun des deux n’était la mais un mot m’informait que mon père était parti en mission et ne rentrerait pas avant quelques jours. Je me dirigeais donc vers la porte pour me rendre aux serres afin de consulter ma mère quand une pensée me vint.
(Gui) -pensée- Merde, si je la dérange, elle va me fumer… Bah, si elle tient autant a ce que j’ais de bons résultats, elle ne dira rien.
Je me dirigeais donc le plus vite possible vers les serres.
En arrivant, plutôt que d’emprunter l’entrée principale, je repérais de l’extérieur le bureau de ma mère, concentrait mon chakra dans mes pieds puis escaladait la façade du bâtiment jusqu'à la fenêtre du bureau
.
(Mère) GUI ! QU’EST QUE TU FAIS-LA ? JE T4AVAIS DEMANDER D’ALLER A L’ACADEMIE !
(Gui) Tu m’avais demandé d’essayer d’avoir de meilleures notes, alors, j’ais décidé de travailler mes techniques d’infiltration…
(Mère) ARRETE DE TE FOUTRE DE MOI !
(Gui) Du calme. En fait, j’ais une idée pour améliorer mon ninjutsu de sable mais j’aurais besoin de toi…
(Mère) Dis toujours…
(Gui) Je voudrais savoir s’il y a un livre qui fait référence au sable spécial de Chikara, tu sais,Chikara no nigiyaka suna.
(Mère) ! Le…sable spécial de Chikara ? Tu crois que tu arriverais à le maîtriser ? -elle fut prise d’un fou rire incontrôlable- C’est encore une de tes blagues, non ?
(Gui) Non. J’ais lu un livre dessus a la bibliothèque…
(Mère) Je m’en doute.
(Gui) …et je voudrais juste des informations supplémentaires dessus mais le livre n’en donnait pas et la documentaliste m’a dit qu’il n’y avait qu’un seul livre dans la bibliothèque publique de Chikara a en parler et que très peu de livres avaient étés écris dessus pour des raisons de sécurité.
(Mère) Je vais aller voir, si ça peu t’aider à améliorer tes notes…
(Gui) Ok, merci !
je relâchais mon chakra et courus ver la maison.
-Une demi heure plus tard-

(Mère) Gui ! J’ais trouvé ce que tu cherchais ! Mais il y a un problème…
(Gui) Quel problème ?
(Mère) Ce n’est pas un sable classique qu’on peu trouver dans un endroit précis, c’est la résultante d’un rituel.
(Gui) Qui ne tente rien n’a rien.
(Mère) Bon ok, je t’ais tout noté sur cette feuille.
-Elle me tends une feuille-
(Gui)Je regardais la feuille, il sagissait en effet d’un rituel assez compliqué mais réalisable. Bon, je vais essayer demain, ce soir, il est -baille- trop tard.
(Mère) FAINEANT !
(Gui) Eh du calme, il est juste trop tard pour essayer ce rituel, on mange quoi ? J’ais faim !
(Mère) Morfal, fainéant, …
(Gui) Ca va, ca va…
-j’attrapais quelque chose a manger dans le frigo et montait dans ma chambre.-


Dernière édition par kakachi2 le 16/3/2008, 15:51, édité 2 fois

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Message par kakachi2 16/3/2008, 15:38

je me réveillais le lendemain relativement reposé et prêt a tenter ce fameux rituel permettant de contrôler le sable spécial de Chikara.
Après un solide repas, je pris mes notes et celles de ma mère sur ce sable et les relues.
Mes propres notes indiquaient surtout comment contrôler le sable une fois invoquées, quand ont celles de ma mère, elles expliquaient en détail le processus, les conséquences de ce rituel ainsi que leurs causes. D’après ce que j’avais lu à la bibliothèque, ce rituel se rapprochait beaucoup de celui de Gensou permettant à un Maboroshi de se liquéfier mais, ici, la fusion avec l’élément n’était pas aussi complète et ne nécessitait pas la présence d’autres personnes que celle désirant fusionner. Il fallait cependant se trouver dans un endroit ou le sable abondait.

(Gui) -pensée- Bon, pour le sable ça vas pas être compliqué, on est au village du sable oui ou non ?
Je montais sur la terrasse supérieure de la maison, elle était balayée par le vent et donc une partie était recouverte par le sable du désert proche.
(Gui)pensée- (lit le parchemin) Alors, en premier tracer le kanji décris avec…-a haute voixSON SANG ? ! Putain, il est énorme en plus ! Bon bah, c’est tout ou rien apparemment.
Je sortis un kunai et me coupait une veine de mon index droit et mangeais une herbe régénératrice -son effet était infiniment moins puissant que celui de la pilule mais, il n’était pas accompagné des inconvénients de cette dernière- puis je commmencait a tracer dans le sable et la poussière le cercle et las kanjis nécessaires au rituel. Le vent faisait rapidement sécher le sang sur le sol mais aussi sur mes doigts, ce qui m’obligeât à me réouvrir le doigt quatre ou cinq fois avant d’avoir terminé. Une fois cette douloureuse tache accomplie, et, après avoir relu de nombreuses fois les notes de ma mère, que je connaissais pourtant par cœur, je me placait au centre du cercle de kanjis de deux mètres de diamètre, utilisait mon chakra doton pour attirer à moi un maximum de sable et, après avoir concentré ce même chakra dans mes paumes, je posais mes mains sur deux des lignes de sang partant de dessous mes pieds et commençait à réciter les paroles du rituel.
A la fin du premier vers, le vent semblât s’arrêter.
A la fin du second vers, le sable présent sur la terrasse se mit en mouvement vers le kanji.
Au troisième, le vent repris mais, semblait-il, se concentrer en une tornade autour de moi dans le périmètre de deux mètres du kanji.
Au quatrième, je vis le sang séché se craqueler sur le sol.
Au cinquième, le sang se pulvérisa et rejoignit le sable qui tourbillonnait autour de moi porté par le vent.
A ce moment, j’avais de plus en plus de mal a maintenir le chakra dans le périmètre. J’entamais avec le plus grand mal le sixième vers. Au moment ou je le terminais, la tornade se scinda en cinq parties qui se répartirent autour de l’ancien périmètre du kanji puis, a leur place, cinq créatures des sables apparurent. Il me semblât alors que l’une d’elle me parlait, mais je ne pus distinguer laquelle, car aucune ne bougeait. La voix ne provenait pas d’une d’entre elles mais raisonnait dans ma tète.

- Qui est tu, toi qui nous invoque ?-
-Qui donc veut maîtriser le sable interdit de chikara ?-
-Qui que tu sois, si tu veux maîtriser ce sable, tu dois nous prouver-
-Ta force-
-Ta sagesse-
-Ton courage-
A ces mots, les cinq créatures se précipitèrent sur moi. J’esquivais les deux premières, mais ne pus esquiver les trois autres et fus projeté sur le mur. Je me relevais et fit sortir mes lames de dessous mes poignets puis fonçait vers la créature la plus proche, mais au lieu de la blesser,, mon poing s’enfoncat dans son corps et j’us le plus grand mal a me dégager de cette masse de sable. Le pire, c’est que j’avais l’impression que chaque coup que je portais ou que je recevais me vidait un peu plus de mon chakra. Je décidais donc de garder une certaine distance et pour ce faire, dégainait mon katana et coupait la créature la plus proche en deux, pour la voir se reformer quelques secondes plus tard.
-C’est tout ce que tu vaux ? –
-Tu sais utiliser ton chakra, non ? –
(Gui) –pensée- ils commencent à m’énerver !
je composais quelques signe
(Gui)Doton,Chikyuu no seika!
Une dizaine de piques faites de ce matériau bizarre que l’on utilise à Chikara pour construire les bâtiments surgirent à différents endroits de la terrasse, mai, les anciens coups, aussi bien portés que reçus, ainsi que le rituel avaient réduit mes réserves de chakra au point que le simple fait d’utiliser cette technique me fit perdre connaissance et, je ne pus donc pas voir si mon attaque avait porté ses fruits.
un monde de sable et d’obscurité tournoyait autour de moi
(gui)-pensée- c’est un rêve… ça ne peu être qu’un rêve !
Une des créatures qui m’avaient attaquées se dressa devant moi.
-Ah ! alors tu sais te servir de ton chakra-
Je remarquais alors qu’il manquait une partie du sable composant le pied de la bête
-Et il semble en plus que tu m’ais blessé ! -
-Bien alors une partie du rituel a été accompli ! -
-Je suis donc obligé de te céder le sable que tu m’as enlevé-
-Bien que je le fasse à contre cœur hé hé hé ! -[/b]
La créature disparut alors avec le sable qui tournoyait autour de moi, me laissant seul au milieu de cette obscurité
-PAF !-
-Ma mère se tenait au-dessus de moi, la main levée pour me mettre une autre baffe.
(Gui) Aaaaaille ! Mais qu’est qui se passe ?
(Mère) Ah, tu te réveille ! Qu’est qui s’est passé ?
(Gui) C’est le rituel, j’ais utilisé trop de chakra.
(Mère) Au fait, ce rituel tu l’a réussi ?
-Je levais la main et y concentrait un peu de chakra. A ce moment, une petite quantité de sable partit du toi -plus précisément de l’endroit ou se trouvait une des créatures- et vint se poser dans ma main. -
(Gui) Faut croire. -bâillement- Je suis fatigué ! Il est quelle heure ?
(Mère) On s’en fiche de l’heure ! Vas te coucher !
(Gui) Mais…
(Mère) Flûte ! T’a une éva demain, non ? ALORS VAS TE COUCHER !
(Gui) Ok, ok…
Je montais me coucher lentement, en me retenant à la rampe pour ne pas tomber.
Le lendemain, j’avais encore mal a la tète, et a ce tableau noir, s’ajoutait des courbatures et une sorte fatigue chronique assez embétante.

(Mère) Alors, comment ça va ?
(Gui) Ca va aller… Je fais cette eva et je rentre pour me reposer.
(Mère) Comme tu veux mais je ne veut pas te voir à l’hôpital !
(Gui) Si tu veux.
Avant qu’elle ait pus continuer, je partit en courant pour m’échauffer, mais, en oubliant mes courbatures qui me firent m’arrêter à mi-chemin… Juste devant Hatsu !
(Hatsu) Tien, salut gui! Comment tu vas ? T’a une tète de zombie ! … A mon avis, la nuit a été chaude, hé hé hé ! C’était la quelle ?
(Gui) -pensée- Lui il commence à m’énerver !
(Gui)A voix basse- Ta gueule
(Hatsu) Hein? J’ais pas entendu?
(Gui) J’ais dit : TA GUEULE !
(Hatsu) Ouhla! T’est de mauvaise humeur ! , Ça va être pas sympa l’eva !
Après cette entrée en matière, nous repartiment vers l’Académie et nous nous dirigeamment vers les terrains d’entraînement.
(Prof) Et bien, voila nos deux retardataires!
(Hatsu) Excusez nous, m’sieur, Gui a eu une nuit mouvementée et il a eu du mal a se lever!
(Gui) Punaise, c’est pas possible d’être aussi con !
(Prof) Toujours est-il que vous êtes en retard ! Pour la peine, vous passez en dernier, vous ne pourrez donc pas partir plus tôt !
(Hatsu) et (Gui) Et Merde !
- Une heure plus tard -
(Prof) Gui! Hatsu! A vous!
(Gui) Ok !
(Hatsu) D’accord! Allez Gui, je te dérouille et on a fini !
-Il me fonce dessus-
(Gui) Merde ! Et en plus, c’a ne m’a servi a rien de dormir en attendant, je suis toujours aussi crevé !
-J’esquivait difficilement-
(Gui) -pensée-Bon, on vas essayer !
-Je concentrait mon chakra en pensant a des aiguilles, mais rien ne se produisit et je ne pus éviter le charge de Hatsu.-
(Gui) -pensée- Merde, ça marche pas ! J’ais quand même pas rêvé hier ! Bon, on vas y aller « classique » !
-Je composait les signes correspondant a la technique des aiguilles de sable-
(Gui)Doton,Suna no sen kagibari
-Déjà besoin de mon Sable !?-
-Comme tu veut!-
-Je vis alors le fameux sable que j’avais invoqué hier sortir de mes poches, se former en senbons et foncer vers Hatsu. Je remarquais alors que les aiguilles se comportaient différemment par rapport a d’habitude, au lieu de foncer droit devant elles, elles esquivaient les parades au kunai de mon adversaire et allaient se planter dans les points aux quels je pensait. Elles se reconstituaient également après un coup et repartaient a la charge. Je ne pus cependant pas pousser mes observations plus loin car je me vidait de mon chakra, je rompis donc la technique.-
-Bye! C’était un plaisir de se dérouiller un peu!-
-Même si c’était un peu court !-
-Je mangeait rapidement quelques herbes de chakra pour me régénérer, puis, Dégainait mon sabre et fonçait vers Hatsu qui avait sortit le sien.
Le choc fut violent et je me retrouvait a quelques centimètres de son visage avec pour seule obstacle les lames entrecroisées de nos armes.
Je sautait en arrière puis revint vers Hatsu qui n’avait rien fait d’autre que de se mettre en garde, gêné par son poids.
Je revins aussi tôt a la charge, en positionnant mon sabre la lame vers le haut, et, m’arrangeait pour coller la garde de mon katana sur la lame de Hatsu, de manière a pouvoir sortir les lames de mes poignets.
-
(Hatsu) Abandonne ! T’arrivera jamais a passer ma garde, t’est pas assez fort!
(Gui) Ouah ! Tu devrais te brosser les dents plus souvent ! Et, pour ta garde, la, si je sort la lame de mon poignet droit, je te tranche une veine et tu te sera d’assez de ton sang pour être dans le comas le temps qu’un médecin arrive ! Alors, T’abandonne ?
(Gui) Jamais !
-Il essaya de sauter en arrière, comme moi tout a l’heure, mais, il fut de nouveau gêné par sa corpulence et les blessures que mon sable lui avait infligé et je pus lui faire perdre l’équilibre pendant son semblant de voltige. Il retomba lourdement a terre et je luis mis la pointe de mon katana sur la gorge.-
(Gui) Alors, la j’ais gagné, non ?
(Hatsu) Comment t’a fait ?
(Gui) Je pense que t’était aux premières loges, non ? Normalement, tu devrais pouvoir répondre toi même a ta question !
(Prof) Gui, pas mal, tu t’es amélioré mais ton ninjutsu ne tiens pas assez longtemps et n’est pas dans le style de Chikara. 14 sur 20. Hatsu, bien aussi, mais tu es trop statique en défense et, c’est la première fois que je te vois perdre contre quelqu’un de plus petit et mince que toi ! 12 sur 20 ! Bon, c’est fini, rentrez chez vous !
-Je rentrais chez mois, quand j’entendit le pas lourd d’Hatsu se rapprocher à grande vitesse, je ne pris pas le temps de savoir pourquoi il me courrait après, je fis rapidement quelques signes et un clone inconsistant apparut devant un mur. J’utilisais mon sable classique pour créer un nuage de poussière qui me permit de me cacher. Je vis Hatsu foncer à tombeau ouvert vers mon clone, le traverser et se payer le mur derrière le clone.
Je m’approchais ensuite de lui
-
(Gui) Raté, t’est pas discret quand mène !
-Je ne pris pas la peine de savoir s’il m’avait entendu, et me dirigeait vers ma maison et m’affalait sur une chaise pour manger un peu. -
(Mère) Alors ?
(Gui) 14 ! je vais aller me coucher, suis crevé !
-J’étouffais un bâillement et montait vers ma chambre. -


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Message par kakachi2 16/3/2008, 15:39

-je me réveillait le lendemain, toujours courbaturé mais plus en forme q’hier.-
(Mère) Salut ! Alors, comment tu vas ?
(Gui) Ca va mieux qu’hier.
(Mère) Tu vas faire quoi aujourd’hui ?
(Gui) Je vais essayer un truc avec mon nouveau sable.
(Mère) Quel truc ?
(Gui) J’ais pas bien compris comment l’utiliser.
(Mère) Bizarre, j’ais lu tes notes dessus, elles sont claires pourtant, pas comme celles que tu a pris de tes cours !
(Gui) Tu sais, mes cours… Mais, en fait je crois que le livre qui m’a servi pour mes notes sur le Sable ne donnait qu’une description externe de la technique, dans la pratique, c’est différent.
(Mère) Ouais, bon, on a pas le temps pour un cour ! Je vais y aller, on n’arrive pas a traiter le cas du gennin amnésique !
(Gui) Comme tu veut !
-Elle partit, l’air pressé.-
(Gui) -pensée- Bon, allons y.
-Je me dirigeais vers la terrasse ou j’avais invoqué les créatures.-
(Gui) -pensée- Et si je réessayait le rituel ? Non, si il me faut 2-3 jours pour m’en remettre, je risque pas de réussir au bout de2 jours !
-je concentrait mon chakra, et, mon sable se mit a léviter devant moi.-
(Gui) -pensée- Donc, le sable m’obéit si je concentre mon chakra…
-je pensait a un katana en m’efforçant de faire passer cette image dans mon chakra, mais, ce fut sans résultat, le sable se contenta de léviter tranquillement devant moi.-
(Gui) -pensée- Et merde, ça marche pas ! Pourtant, j’ais fait comme dans mes notes ! Je vais réessayer, si ça se trouve, c’est juste que j’ais pas réussi le transfert de pensée vers mon chakra !
-Je réessayait ainsi pendant toute la matinée, mais, sans résultats apparents.-
(Gui) -pensée- Bon, ça marche pas maintenant, mais, ça vau pas dira que ça marchera pas plus tard avec plus de technique et d’entraînement !
-Je composait les signes correspondants aux « milles aiguilles de sable ».-
-Encore besoin de moi ?-
-Qu’est qui t’arrive cette foi ?-
(Gui) -pensée- J’essaye de comprendre comment tu fonctionne.
-Je croyait que tu le savais déjà quand tu m’a utilisé hier contre ce gros frimeur!-
(Gui) -pensée- Tu te trompe, j’ais juste voulu faire appel a la technique normale, pas a toi !
-Normalement, tu aurais du savoir comment me contrôler avant de me libérer !-
(Gui) -pensée- Je pensait le savoir !
-Compte pas sur moi pour te dire précisément comment me contrôler!-
(Gui) -pensée- Et pourquoi je te prie ?
-Je tient a ma liberté!-
(Gui) -pensée- Tu pourrait m’être reconnaissant, je t’ais libéré ! Au fait, libéré de quoi ?
-Tu te fout de moi ?!-
-Je rêve, il sait même pas d’ou je viens!-
-Je vais te le dire minus!-
-A l’origine, je suis un démon!-
-Bon, un démon mineur mais un démon quand même!-
-J’ais été tué il y a longtemps-
-Ce que tu contrôlera si tu accomplis le rituel jusqu’au bout-
-N’est que les restes de ce démon- les cendres de son corps!-
-Ces cendres sont habitées par la fureur du démon-
-Et ne cherchent qu’a venger le démon en tuant toutes personnes les provoquant !-
-Cependant, ces cendres ont étés fossilisées-
-Et, leur pouvoir affaiblit.-
-Au départ, les ninja, pauvres crétins arrogants-
-Ont crus qu’il ne s’agissait que d’un sable spécial -
- permettant une meilleure maîtrise de leurs pathétiques techniques-
-Mais, ils se sont vite rendus compte de leur erreur.-
-Et, ils ont scellé les cendres dans des gardiens.-
-Avec pour seul pouvoir, celui d’absorber le chakra-
-Afin de tester les personnes voulant contrôler ce pouvoir-
-Pour vérifier qu’ils seraient assez puissant pour le contrôler !-
(Gui) -pensée- Putain merde ! Qu’est que j’ais fait ?
-Une grosse connerie ! Hahahaha-
(Gui) -pensée- Merde, qu’est que je vais faire ?
-C’est ça, continue a paniquer pour que je puisse m’échapper! Hahahaha-
(Gui) -pensée- Ne compte pas la dessus !
Je me calmait, m’assis sur le sol et commençait a concentrer mon chakra
-Noooooon Arrète ! Arrête je te dis-
(Gui) -pensée- Crétin ! Tu te crois fort mais tu me donne toi même ton point faible !
Maintenant, je comprend pourquoi on parle peu de cette technique dans les livres !
Je relâchait mon chakra, coupant le contact avec la créature
(Gui) -pensée- Bon, reprenons. Apparemment, les notes sont bien celles d’un observateur extérieur, et sont apparemment plus anciennes qu’elles en ont l’air ! Elles datent probablement d’avant la prise de conscience de la véritable nature du sable. Cependant, il ne s’agit que d’hypothèses et, je n’écarte pas la transmission de pensées. En plus, la créature semble avoir besoin de chakra pour avoir un effet quelconque.
Le mieux serait donc de continuer a me servir du sable dans mes jutsu. Je verrais si je peu m’en servir autrement quand je maîtriserait beaucoup mieux mon chakra que maintenant.
Et dire que je pensait bien le maîtriser !
Je me levait et fit quelques pas ver le mur
(Gui) -pensée- Du sable compacté… non trop dur.
Je descendit dans la cour
(Gui) -pensée- Du sable… ça ira, je pourrait difficilement trouver plus meuble.
Je concentrait du chakra dotons dans ma main, m’efforçant de faire fusionner le sable de la cour et mes cellules puis, poussait sur le sol mais, sans résultats.
(Gui) -pensée- Merde, pourquoi ça marche pas ? J’ais fait comme indiqué Dan le livre pourtant Et si je m’était trompé ? Ca doit faire un mois que j’ais survolé la page ou on traitait de cette technique…Bah, retourner voir ne me fera pas de mal !
Je me dirigeais donc lentement vers l’académie, les mains dans les poches.
(Inconnu) T’EST MORT MEC
(Gui) Gné… ?
Par pur réflexe, je sortit les lames de mes poignet, les croisait dans une position défensive et me retournait dans la direction approximative de la voie
Tintement de métal rencontrant violemment le métal
Je me retrouvais projeté contre un mur avec une masse sombre et ricanante, le katana tiré se tenant devant moi.

(Inconnu) Parade de merde, comme tout ce que tu fait !
(Gui) (-Voix faible) Hatsu ?
(Hatsu) Lui même ! Je vais te faire payer l’humiliation d’hier !
Je me remis en garde.
(Gui) Quelle humiliation ? Tu vas pas me faire croire que je t’ais humilié hier en te battant avec pour seul public le prof ?
(Hatsu) Le simple fait que quelqu’un de plus faible et plus petit que moi me batte est une humiliation!
(Gui) Ouhla ! T’est complètement tarè ! Enfin, c’est pas une nouveauté mais maintenant, j’ais une preuve !
(Hatsu) ...Je vais te...
Il me fonce dessus, le sabre en avant.
(Gui) Arrête tes conneries
J’esquivait l’attaque.
(Hatsu) Lâche! Viens te battre!
(Gui) Mais, c’est qu’il fait tout pour m’énerver !
Je sortit trois senbons de ma poche avec ma main gauche et dégainait mon sabre de la main droite.
(Gui) Tu veux que je t’ »humilie » une nouvelle foi ?
(Hatsu) Tu ne pourra pas recommencer quand j’en aurais fini avec toi!
(Gui) Comme tu veux !
Je fonçait vers lui en me préparant a bloquer des attaques avec mon sabre, tout en tournant autour de lui..
(Hatsu) T’ose pas m’attaquer! Lâche !
A ces mots, il se mit a lancer des kunai vers moi. Je bloquant les kunai et, me mit a courir autour de lui en jetant des shurikens qu’il bloquait facilement. Tout en lançant mes shurikens, j’essayait de repérer une ouverture pour lancer mes senbons.
(Hatsu) C’est tout ce que tu sais faire?
(Gui) (-sourit-) Non.
J’avais repèrè une ouverture, et, je ne me fis pas prier, mon premier senbon vint se planter dans sa cuisse droite, lui arrachant un cris de douleur.
(Hatsu) C’est toujours nul quand même!
Deuxième ouverture, deuxième senbon, dans la cuisse droite celui-la, suivi aussi d’un cris de douleur.
(Hatsu) Tu sais vraiment rien faire d’autre?
(Gui) Tu verra.
Troisième ouverture, troisième senbon, dans le bras droit (celui qui lui sert a donner de la puissance a ses coups de katana) celui-la, suivi également d’un cris de douleur.
(Gui) Maintenant, tu vas voir ce que je sais faire d’autre !
Je sautait en arrière, affermit ma prise sur mon sabre, puis, me mit a courir vers Hatsu, le sabre en avant. Je vis furtivement une ombre en kimono noir me dépasser, puis, percuter Hatsu. Je m’arrêtait, un ANBU se dressait devant moi, un poing dans l’estomac de mon adversaire.
L’ANBU se retournât vers moi.
(ANBU) Désolé d’avoir interrompu votre duel, mais on le cherche depuis ce matin, il a fugué et a blessé plusieurs personnes dans un bar.
(Gui) Merci du coup de main…
Il arrachât mes senbons du corps de Hatsu et le chargeât sur son épaule.
(ANBU) De rien.
Il composât rapidement quelques signes d’une seule main puis disparut dans un nuage de fumée. Je ramassait mes senbons puis repartit tranquillement, toujours les mains dans les poches vers la bibliothèque de l’académie..

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Message par Adashitzu 16/3/2008, 16:51

J'étais enfin passé Genin.
Ce bandeau, je l'avais attendu longtemps, trop longtemps peut-être...
depuis mes débuts à Chikara, le désir de devenir un vrai ninja occupait mon quotidien.
Là, j'avais réalisé une partie de mon rêve de gosse ça m'enchantait d'un côté mais d'un autre je me sentais perdu...
Pourquoi mon père avait-il quitté la maison ?
Pourquoi ma mère est-elle morte après mon accouchement ?
Trop de questions me trottaient dans la tête, et même passé l'adolescence, je ne croyais pas trop en moi...

Je rentrai dans mon petit studio situé au 6ème étage d'un grand appartement.
Je tenais encore mon bandeau en main, je voulais garder l'instant ou je le mettrais pour la première fois pour moi, à l'abri des regards.
Je jetai ma veste en cuir sur mon lit et me mis devant la glace de ma petite salle de bain afin de mettre mon bandeau.
Je le posai sur mon front, en travers, afin de cacher mon oeil droit.
Le tissu était déjà chaud, certainement car je le tenais en main depuis une heure déjà.
Je relevai mes cheveux noirs et nouai le bandeau. Puis je réarrangeais mes cheveux et me regardai dans le miroir.
C'est à partir de ce moment la que je considère vivre ma vie en temps que ninja.

Le petit moment philosophique achevé, j'allais dans mon petit "coin cuisine" pour manger quelques gâteaux que j'avais préparé la veille. Je ne pouvais m'empêcher de toucher l'emplacement de mon oeil droit, à présent recouvert d'une plaque de métal scintillante.

Je décidai ensuite de me rendre, en bon genin, au Quartier Général de Chikara, afin de recevoir mon équipe et mon nouveau sensei.
Je me dirigeai donc vers le Q.G, bâtiment dont je pourrais enfin franchir la porte.
A l'entrée, un jeune chuunin me salua et me souhaita la bienvenue. Je lui rendit la politesse.
Comme je ne connaissait pas le bâtiment le chuunin me proposa de me guider à travers le bâtiment.
Le chuunin me guida jusqu'à une porte et me fit entrer. Puis il repartit.
La salle était remplie de jeunes genins comme moi.
Sur une estrade au fond de la salle se trouvait un homme tenant un calepin.
Il réclama le silence.
-Bienvenue à tous ! Vous avez tous réussi votre examen et je vous félicite. Maintenant je vais procéder à la répartition des équipes. je rappelle que les équipes sont constituées d'un Jounin et de trois nouveaux genins. Doc voici les equipes :

Il commença à appeler les Nouveaux un à un, et les répartissait dans les equipes. Enfin il dit :
-Equipe Numéro 10 : Zatchi Adashitzu, Tazutshi Ren, Naburate Hana ! Et leur sensei est Jione Yonasu !

Et voilà, j’avais ma nouvelle équipe… J’étais avec deux inconnus au bataillon… Je n’avais jamais vu mon nouveau sensei non plus… M’enfin, on verra bien ce qu’ils valent.
Je quittai la salle en présence de mon nouveau sensei et de mes nouveaux coéquipiers.
Le sensei nous amena un dehors du QG, et nous dit :
- Salut les jeunes, je m'appelle Jione Yonasu, appelez moi Yonasu-sensei. Je suis donc Jounin et votre nouveau chef. J'ai été ANBU dans le passé. Je vous demande maintenant de vous présenter rapidement chacun votre tour et de dire vos ambition dans votre vie de ninja.

Sa craignait déjà... Ce type était vraiment bizarre... Il était grand, musclé, avait les cheveux Longs et Noirs. Il portait son bandeau au front. Il avait les yeux bruns et perçants et une petite barbichette au menton. On pouvait aussi remarquer une longue cicatrice partant de son sourcil gauche et terminant à l'embase de son cou. A première vue, je l'ai trouvé très mystérieux... Il portait son uniforme Chuunin vert et un pantalon noir Baggie. Son pantalon n'était resserré qu'à l'endroit où son étui à Kunai était accroché. Il portait des chaussures de cuir noires, semblables aux miennes fermées par des lacets marron et très serrés.

Puis la jeune femme se mit à parler.
- Bonjour, je m'appelle Naburate Hana, j'ai 19 ans et ma plus grande ambition en tant que ninja est de devenir une grande ninja respectée de tous ! Je souhaite également voyager dans tous Shinnen afin de trouver de nouveaux horizons et explorer ce Monde inconnu pour moi ! Vous pouvez m'appeler Hana !

En parlant elle souriait. Un sourire profond qui marquait une grande joie. Elle avait les cheveux longs jusqu'aux fesses à peu près et d'un Blond éclatant. Ses yeux étaient verts et elle avait de petites lèvres minces. Elle portait son bandeau sur ses cheveux soyeux.
Elle portait également une sorte de robe longue jusqu'aux genoux et toute bleue. Elle était bien faite, très jolie et très mignonne à mon goût. Elle portait de petites chaussures de cuir et des collants noirs. Son étui à kunais était acrroché à son collant, sur sa cuisse droite.

Puis c'était à mon tour, je me présentai en donnant mon âge et mon ambition de retrouver mon père.

Enfin, l'autre jeune homme se présenta :
- Bonjour je m'appelle Tatzutshi Ren, j'ai 20 ans et j'ai comme ambition de devenir un grand ninja médecin afin de sauver mes coéquipiers au combat et leur apporter mon appui.

A première vue j'ai vu que cet homme pourrait devenir un grand ami. il avait les Cheveux Bruns, ébouriffés et qui cachaient presque entièrement son bandeau frontal. Il portait une veste grise qui lui remontait jusqu'au menton.
Il avait de grands yeux Bruns et des lunettes ovales. il avait un gros grain de beauté sur sa joue gauche. Il portait également un pantalon bleu foncé serré sur sa cuisse droite par son étui à kunais.
Il était grand et mince, il avait l'air fragile mais assuré.

Puis Yonasu-sensei nous dit :
- Bien, c'est une jolie équipe ça.
Rendez-vous demain à 8h00 devant les bains. Ne soyez pas en retard !

Nous saluâmes le sensei et repartirent chacun de notre côté.
Je rentrai chez moi, satisfait de ma nouvelle équipe et impatient que ce soit le lendemain.
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Message par Seol 16/3/2008, 17:46

Chambre 304 de l'hôpital de Chikara, quelques heures après la fin du combat.

Hisoka ouvre lentement les yeux. La première chose qu’il remarque, c’est une lézarde qui traverse le plafond blanc. La deuxième chose qu’il remarque, ou plutôt ressent, c’est une douleur sourde au niveau des côtes et au niveau des reins.

Où est ce que je suis là… ? Attends… j’étais entrain de me battre contre… merde, elle s’appelle comment déjà, cette Chikarate… Ah oui, Akkurenaï… pendant la demi-finale du tournoi. Ah, oui, je me souviens… j’ai reçu une première blessure dans les côtes, mais je ne sais plus pourquoi, ni comment. Et après… Ah, oui, j’ai essayé de lui prendre son arme et la seule idée à peu près réalisable que j’ai trouvé, c’était de me la prendre dans le bide. D’où la deuxième blessure… Sur le moment, c’était une bonne idée, mais à la réflexion, je suis sûr que j’aurais pu trouver quelque chose de nettement moins douloureux… Va vraiment falloir que je bosse ma stratégie…

Hisoka soupire. Ce simple mouvement lui tire une grimace. La blessure aux côtes est vraiment mal située. Et impossible de respirer par le ventre, car la blessure au rein est encore plus douloureuse.

D’un côté, je souhaite être qualifié pour la phase finale. Remporter le tournoi, ce serait vraiment le pied. Mais d’un autre côté, si c’est pour me faire charcuter encore plus que ça, je ne suis pas très pressé de le continuer ce foutu tournoi. Plus j’avance dans le tableau, et plus je suis blessé gravement. Et cette fois-ci, j’ai bien failli y laisser ma peau…

Hisoka soupire à nouveau, oubliant une fois de plus ses blessures. Il ne peut s’empêcher de grimacer. Alors qu’il ferme les yeux, espérant se rendormir et donc récupérer un peu plus, quelqu’un frappe à la porte et entre sans attendre le consentement de Hisoka. Un jeun ninja fait son apparition. Du moins, Hisoka pense que c’est un ninja, à voir la façon dont il se déplace : souple, minimisant les efforts, sûr de lui. Mais, ce type porte une blouse, ce qu’il le classe dans la catégorie du personnel soignant.

« Bonjour, jeune homme ! Comment allez-vous ? demande-t-il, d’une voie enjouée.
_ J’ai connu mieux, répond Hisoka.
_ Eh bien, on va essayer de régler ça tout de suite. Quand vous êtes arrivé tout à l’heure, vous aviez perdu beaucoup de sang et vos deux blessures étaient entrain de s’infecter. On ne vous a jamais dit qu’il fallait utiliser des tissus propres pour panser une plaie ?
_ Disons, que, en plein combat, dans une arène pleine de poussière, avoir un tissu propre, c’est pas ce qu’on fait de plus facile, voyez vous ? rétorque Hisoka.
_ Oui, c’est vrai. D’ailleurs, vous avez fait un très beau combat.
_ Avez-vous des nouvelles de la jeune kunoichi ? Comment va-t-elle ? demande Hisoka.
_ Elle a été moins touchée que vous, même si sa pommette a été très abîmée et qu’elle a été sévèrement sonnée par votre dernier coup. Mais, fort heureusement, cela n’entraînera aucune séquelle.
_ Tant mieux. C’était un superbe combat à mener et surtout, c’est un adversaire de valeur.
_ Bon, et si nous nous occupions un peu de vos blessures à vous ? »

Sans attendre la réponse de Hisoka, le jeune médecin s’approche et défait les bandages de Hisoka. Il examine les deux blessures en fronçant les sourcils, comme pour mieux se concentrer sur l’état des blessures. Il se relève, satisfait de son examen. Il appose ses deux mains sur la blessure au ventre et prononce une formule que Hisoka ne comprend pas. En revanche, il ressent une douce chaleur au niveau de sa plaie et sent de moins en moins la douleur. Lorsque le médecin retire ses mains, Hisoka passe sa main sur l’endroit de la lésion et ne sent qu’une cicatrice un peu boursoufflée. Le médecin réitère la même opération sur la blessure du torse et à nouveau, la plaie se transforme en cicatrice. Le travail n’est guère artistique, mais il est efficace. Le jeune médecin est en sueur. Apparemment, ce n’est pas un habitué des jutsus médicaux et il lui reste encore beaucoup de chemin à faire.

« Voilà, c’est fini. Bon, alors, d’ici demain vous pourrez participer à la finale, dans le cas où vous seriez sélectionné. Vous sortirez tout à l’heure pour les résultats, mais vous reviendrez passer la nuit ici. C’est compris ? »

Hisoka regarde le jeune médecin et jauge ses yeux. Pas question de faire faux bond, sur ce coup là. Il le sent bien. Ce médecin risque d’être une vraie plaie, s’il ne l’écoute pas. Hisoka acquiesce de la tête. Le médecin sort de la chambre sans un mot de plus.

Hisoka se rallonge et ferme les yeux. Il se remémore le combat, ou, plus exactement, il le revit au ralenti, pour voir s’il n’aurait pas pu faire autrement. Alors qu’il est plongé dans ses souvenirs, la porte s’ouvre et se referme en silence, laissant passer quelqu’un. Ressentant soudainement une présence près de lui, Hisoka ouvre les yeux en sursaut.

Devant lui se tient un homme d’une cinquantaine d’années. Il est vêtu d’un kimono sombre, attaché par une simple ceinture rouge. Pas de bijoux ni aucune autre fioriture. L’homme à la peau sombre, plus que celle de Hisoka. Ses yeux sont d’un vert clair, qui contraste énormément ave la couleur de la peau.

« Content de voir que tu vas bien, Hisoka-kun.
_ Que… comment… qui êtes vous, Rôjin San ? balbutie Hisoka
_ Excuse-moi, je ne me suis pas présenté. Je me nomme Hirohito Kintsura. J’ai assisté à tous les combats du tournoi inter genins, à la recherche de talent. Et je dois dire que ton style me plaît…
_ Bien que vous m’ayez dit votre nom, je ne sais toujours pas qui vous êtes, Kintsura san, le coupe Hisoka.
_ Quel impatience ! Si tu me laisse m’exprimer, je te dirai tout ce que tu veux savoir », répond-il en souriant.

Hisoka acquiesce, penaud. Dans d’autres circonstances, il aurait probablement répondu, son insolence prenant le dessus. Mais cet homme déploie une formidable énergie, qui impose le respect.

« Comme je le disais, ton style me plaît. Je suis l’un des maîtres d’une école au sabre, le Tôshin no Gokô. C’est un style de combat offensif, comme le tien, mais basé sur l’utilisation de l’énergie du sabre. J’aimerais, si tu le souhaites, t’initier à nos techniques. »

Hisoka regarde le type, pour voir s’il est sérieux. Apparemment oui. La proposition est plus qu’intéressante. Jusqu’à présent, Hisoka s’est toujours débrouillé tout seul, vu que son grand père n’est pas un adepte du kenjutsu. Et Nagisa senseï n’aime pas trop se battre avec un sabre. Mais, aussi doué qu’une personne soit dans un domaine, elle se retrouve inévitablement limitée par sa propre vision dudit domaine.

« Tu n’es pas obligé de répondre maintenant. Je compte rester encore quelque temps à Chikara. Viens me voir à mon hôtel, si tu es prêt. Je vais te laisser te reposer maintenant. J’espère te voir en final et profiter du spectacle encore une fois. »

Le vieil homme repart en silence, laissant Hisoka avec une nouvelle perspective d’avenir. Sauf qu’il faut qu’il prévienne son senseï et son grand père si jamais il décide de suivre le vieil homme. Mais chaque chose en son temps. D’abord, les résultats du tournoi….


Dernière édition par Seolchong le 22/3/2008, 13:19, édité 1 fois
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Message par Mei-Lynn Sabishii 16/3/2008, 21:41

Manque de concentration, sûrement. J'y resongeai maintenant, j'étais comme aveuglée par le désir de réussir, si bien que cela m'avait déconcentrée. Enfin, au moins, j'avais repris mes esprits, si l'on pouvait dire ainsi. Je dessinai un nouveau shuriken, aposait ma main et concentrai mon chakra, essayant de me concentrer tout en me détendant. Après une nouvelle détonation et fumée blanche, un shuriken noir était apparu dans ma main, bien consistant, bien formé. Retenant ma respiration je me levai et me tournai vers le poteau d'entrainement. Je lançai la petite arme de toutes forces, fermant les yeux pour ne pas voir un nouveau fiasco. Lorsque je les rouvrit, je retins un cri de surprise. Mon dessin était planté dans le morceau de bois. Bon, il tenait à peine et commençait déjà à se liquéfier, mais j'avais réussi à le maintenir.

Pensée: Tu y presque ma grande, le prochain coup sera le bon!

En même temps que je créais un nouveau shuriken, je pensais à une chose... Si je n'arrivais pas à maîtriser cette technique et à devenir plus forte, je ne vaincrai jamais Arai... Et lorsque je me mis devant ce poteau, je cru voir en lui la perso dont je voulais la mort: Arai Sabishii.


Mei-Lynn: Prend ça, sale traitre!

Je jetai avec fureur mon shuriken dessin, qui se planta vers le haut du poteau. J'inspirai puis expirai profondément, essayant d'évacuer la soudaine colère qui s'était incrustée en moi. Si la colère était la seule capable de m'aider, alors je devai faire avec, et en plus, cela m'aidera à l'évacuer... Un peu comme si l'on remplissait une baignoire qui se vide...
Après une dizaine de nouveaux jets, dont une majorité ne s'était pas liquéfiée au choc contre le bois, je décidai de passer à deux shuriken. Tout deux furent correctement constitués, mais tous se fracassèrent contre le poteau. Surtout que ce même poteau me donnait la vision de mon traître de père... Je serrais les poings. Ne pas s'attarder sur la défaite. Rester concentré, se détendre. Se vider de toute émotion, tout sentiment présent.
Obéissant à ces règles, je redessinai deux shuriken les "matérialisa", pour les lancer tous deux sur ce poteau. L'un d'eux resta planté tel un shuriken normal, tandis que l'autre s'était fracassé. Je m'améliorai, je le sentais et surtout, je le voyais.
Pendant de longues minutes, je m'entrainai à deux shuriken. Au bout d'une heure et quelques minutes d'entrainement, avec du repos régulier, je parvins à faire résister correctement mes deux étoiles ninja. Le problème, c'était qu'il ne me restait plus beaucoup d'encre avec tout ces dessins... Heureusement que Eiyo m'avait donné un peu d'argent...

Les commerces étaient, comme toujours, très animés. Des enfants qui jouaient par-ci par là, des femmes qui se racontaient les derniers potins entendus, et les marchands qui vantaient leurs marchandises. Mais en y repensant, y avait-il une boutique vendant du matériel de dessin? Bonne question... Après une dizaine de minutes de recherche, je vis enfin quelque chose d'intéressant. Un marchand qui vendait du matériel non pas de dessin, mais plus intéressant... De nombreuses bouteilles d'encre de toutes sortes étaient présentées sur sur la grosse table de bois. Un véritable trésor. Emplie d'un enthousiasme rare, je m'approchai du stand de l'homme.


Marchand: Hoho! Je vois que j'ai à faire avec une connaisseuse on dirait! Alors.. Elle veut quoi la ptite demoiselle? J'ai de nombreux types d'encre, dont la qualité peut beaucoup varier.
Mei-Lynn: Je ne cherche pas une encre d'une qualité hors du commun, juste une encre... Qu'on pourrait utiliser pour le combat... Quelque chose du genre...

L'homme sembla étonné. C'est sûr, ce n'était pas souvent qu'un ninja combattait avec de l'encre... Et donc l'idée de penser qu'il existait en ce monde une encre spéciale combat...

Marchand: Une utilisatrice du Ninjutsu d'encre... C'est pas tout les jours qu'on voit ça. On dit que la beauté d'un dessin peut varier avec la qualité de l'encre utilisée... Et la qualité des techniques de dessin par la même occasion... Personnellement, je pense que ce sont des balivernes. Tu me plais la p'tite demoiselle. Je te conseille de prendre cette encre noire. Plutôt de bonne qualité, et pas chère en plus de ça.
Mei-Lynn: J'en prend deux bouteilles.

Après mon achat, je revins vers mon terrain d'entrainement. Je vis alors que des Gennins s'amusaient à s'entrainer avec des armes ninja d'une sacoche qui trainait par terre... Cette sacoche...
L'imbécile!
J'avais complètement oublié de prendre ma sacoche lorsque j'étais partie faire mes emplettes! J'adoptais une attitude polie, souriante, songeant que cela m'aiderai mieux à convaincre ces petits voleurs.


Mei-Lynn: hum... Excusez moi, mais il s'avère que vous êtes en train de jouer avec mes armes... J'avais laissé cette sacoche ici sans m'en rendre compte...
Gennin 1 (garçon): T'as une preuve au moins?
Mei-Lynn: Oui, il y a l'emblème de mon clan brodé dessus. Une tête de loup aposée sur une pleine lune.
Gennin 2 (fille): Mouais mais... Non. Si tu veux cette sacoche, faut la mériter! Tu vas combattre l'un de nous deux! *s'approche* Moi. Et je te prévient, je suis coriace! J'ai participé au tournoi Inter-Gennin!

J'étais médusée. Ils voulaient se battre pour une simple sacoche? J'avouais ne pas comprendre... Mais puisqu'il en était ainsi, cela m'aiderai à expérimenter mes techniques dans un vrai combat.
La fille fonça sur moi. D'instinct, je déroulai un parchemin où deux souris étaient déjà dessinée, au moins ça me facilitait la tâche.


Mei-Lynn: Ninpô, Kaihou kogata kedamono no jutsu!

Deux souris se matérialisèrent, et coururent vers mon adversaire, qui hurla de frayeur et tenta de les écraser. J'en profitai pour m'emparer d'un de mes kunai, avant de me rappeler que je n'étais plus en possession de ma sacoche... C'était le moment de voir si je maîtrisais la matérialisation d'armes... Sous ses yeux je dessinai non pas deux, mais trois shuriken, aposai ma main sur le parchemin et, sans vraiment le voir, tous trois furent libérés.

Mei-Lynn: Admire... l'art du dessin!

Je lui lançai mes trois petites étoiles ninja alors qu'elle prenait seulement conscience que je lui avait parlé. Mes créations se plantèrent toutes trois dans sa peau.
Mais bien sûr... Il est plus facile de planter quelques chose dans de la chair humaine que dans un matériau comme du bois, qui est plus solide...
La Gennin avait reçu mes projectile dans ses bras. Après s'en être débarrassé rapidement, elle fila avec son ami. Dès qu'ils furent disparus de mon champ de vison, je pris ma chère sacoche dans mes mains...

Non... Ce n'était pas pour une simple sacoche qu'ils se battaient... Mais pour prouver leur force. Je venais simplement de le comprendre.
Je regardais les shuriken que la fille avait reçu...


Mei-Lynn: Jitsugen' kuro no jutsu.
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Message par Hayamaru 17/3/2008, 17:42

Mon combat contre Ryuuzaki
Ce type, Ryuuzaki, m'a provoqué il y a 2 jours, alors que je sortais de l'académie, peinard. J'ai accepté son défi, ne pouvant résister à l'idée d'un duel (mon premier en tant que Genin). Je lui ai proposé d'aller au un terrain d'entraînement à côté de l'académie. C'est mieux que les salles d'entraînement du QG.
J'arrive sur le terrain, à midi. Personne, évdemment. J'attends. Un quart d'heure plus tard, une femme arrive.
Moi – Heu... bonjour, qui êtes vous ?
Femme – Moi ? Je m'appelle Harue, je suis celle qui entraîne Maboroshi Ryuuzaki, ce petit con. C'est également moi qui vous arbitrerai, puisque je vois que tu es seul.
Moi – Ha bon ? Alors pourquoi n'est t-il pas là, c'est pourtant l'heure.
Harue – Ne t'excite pas. Feignant comme il est, il vient sans doute à peine de se lever.
Soudain, un type aux cheveux blancs et habillé de bleu déboule de derrière un bosquet.
Ryuuzaki – Qu'est ce qu'elle a dit, la plate ?!
Harue – Je vais t'en foutre une, toi...
Moi – Humhum... Bon, on va peut-être y aller ?
Ryuuzaki – Ok, si tu veux perdre plus vite !
Harue – C'est bon ? Vous êtes prêts ?
Moi et Ryuuzakiensemble - Prêt !
Harue – Commencez !
Au début du combat, nous sommes à 3 mètres l'un de l'autre. C'est trop près. Je fais un long saut en arrière. Mon adversaire a pris la même initiative. Je dégaine mon katana. Ryuu a dégainé les 2 siens pendant son saut. Il s'élance vers moi. Une fois arrivé près de moi, je saute de côté et lui assène un coup latéral qu'il bloque. De son autre sabre il me donne un coup de haut en bas. Étant à sa gauche, il lui est difficile de m'atteindre de son sabre qu'il tient dans sa main droite; j'esquive facilement. Mais à deux sabres contre un, je risque de ne pas pouvoir tenir longtemps. En cas d'attaque de face, il aura le dessus. Qu'il en soit ainsi. Je retire mon wakizashi de se son fourreau et l'empoigne à l'envers, lame opposée au pouce. Nous avons tous les deux les mains prises, notre duel se réserve au Taijutsu exclusivement, pour l'instant.
Moi – Ammène-toi !
Il s'élance, en tournant autour de moi. Il est rapide ! J'estime avoir mon propre style de combat, mais par rapport à lui, c'est carrément brouillon. Ses mouvements sont bien mieux coordonnés. Il attaque. Je pare. Encore. Encore. J'encaisse les coups. Je ne peux plus tenir ! Il faut que je fasse quelque chose ! Je jette des makibishis. Il recule pour réattaquer. Je rengaine mon katana, sors un parchemin et invoque mon shuriken géant. Je dois le maintenir à distance, il ne se bat qu'au corps à corps. Soudain, sans que j'ai pu instant m'en douter, il me jette son katana gauche. Quoi ??? Impossible !!! Je me jette à terre à terre,incapable de faire autre chose. Le katana me frôle, arrachant au passage une mèche de cheveux argentés. Je me relève et m'élance vers le sabre, planté dans le sol. A mi-chemin, je me stoppe, remarquant quelque chose. Un fil ! Non ! Je me jette sur le côté, esquivant de justesse la lame. Je me tourne vers Ryuuzaki. Il tient son katana (Si l'on peut prétendre que c'en est un) dans sa main droite et il fait tournoyer un crochet dans son autre main, relié à la garde du sabre par un fil épais. Tu vas voir, toi !
Moi – Ninpô ! Kakureru no jutsu !
Une bulle de chakra se forme autour de moi, me permettant de disparaître.
Je vais me placer au sommet d'un des arbres qui entourent le champ. Ryuuzaki me cherche du regard. Inutile !. Je lance mon shuriken, qui redevient visible. Je saute sur un autre arbre. Je retire de ma manche les fils quasi-invisibles qui sont reliés à mon shuriken. A ce moment, celui arrive près de Ryuuzaki. Il saute par-dessus. Je fais décrire à mon shuriken une longue boucle pour la faire revenir sur mon adversaire, qui ne sait toujours pas où je suis. Il faut que j'en finisse. Le camouflage trop longtemps utilisé épuise mes réserves de chakra. Pour l'instant ça va. Il esquive à nouveau. Je recommence. Après plusieurs tours, mon adversaire qui a comprit qu'il ne pouvait pas gagner juste en esquivant, réagit. Il saute, et lance son sabre vers le sol. Celui-ci passe dans l'anneau de mon shuriken, se plante dans le sol avec ce dernier. Se saisissant de son autre sabre, il tranche mes fils, puis tire sur son crochet, amenant son sabre et mon shuriken à lui. Il rengaine son katana (le normal) puis replante dans le sol mon shuriken.
Ryuuzaki – C'est fini ! Tu ne peux plus t'en servir ! Ce n'est plus la peine de te cacher !
Je stope mon jutsu, et saute à terre. Puis je m'adresse à Ryuu en souriant.
Moi – Ha oui, tu crois ça ?
Je tire sur mon dernier fil, qui est relié au mécanisme secret de mon shuriken. De la fumée sort de l'anneau, et les 4 lames sont éjectées. L'une d'elle touche Ryuuzaki. Non ! Il l'a esquivée ! Il se retourne vers moi, se tenant le haut du bras droit, qui saigne. Son regard a changé.
Ryuuzaki – Et merde... c'est épuisant tout ça...
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Message par Sarouh 17/3/2008, 19:53

Alors comme sa je suis recalé, hein ? C’est bizarre sa ne me fait rien, je n’ai juste pas envie de me faire démonter par Cacaunoy mais sinon rien…

Malgré le fait qu’il avait était recalé au premier tour, Sarouh était serein, heureux, il avait enfin trouvé un ami, un vrai ! La seule chose qu’il avait a lui reproché était qu’il est mahousard, il n’avait rien a lui reproché et même ça il ne pouvait lui reproché, il est né comme il est et sa changera jamais… il espéré seulement que c’était réciproque

Je pense que le fait que quand je l’ai attaqué il n’a pas riposté et surtout, le fait qu’il a accepté de payer autant… Ma part valait 732 ryos plus la sienne ? 1565 ryos, si sa ce n’est pas une belle preuve d’amitié mhuhahahahaha


Sarouh partit vers un restaurant bordant la rue du Q.G de Chikara pour rassasier son chakra, il prit un bol de patte des sables. Après ce repas frugal, Il se dirigea vers le terrain d’entraînement qu’il avait découvert peu avant son premier match

Bon premier entraînement : le En ! Je vais invoquer des clones qui me balanceront un max de projectile et je devrai éviter voila tout !

Kage bushin no jutsu 4 clones s’avancèrent hors de la fumée

Sarouh leur expliqua brièvement ce qu’ils devaient faire ferma les yeux, activa le En dans un périmètre de deux mètres et lança un kunaï dans le sol, ce qui devait servir de signal au clones.

Un premier clone rentra dans son périmètre de sécurité et lui fis un coup de kunaï vertical qu’il évita un shurikens surgit dans son dos, il eût tout juste le temps de le parer avec un kunaï qu’il dût éviter un deuxième coup du premier clone. Sarouh se contorsionna pour éviter mais il fût tout de même légèrement blessé. Ce petit jeu dura deux minutes, durant lequel Sarouh esquiva, para, sauta, permuta même une fois pour ne pas être blessé. A la fin de ces deux minutes il révoqua ses clones épuiser et désactiva le En. Il bût goulûment de l’eau revigorante qu’il avait achetée au restaurant et s’assit dans l’herbe, laissant ses pensées vagabondés.

Son inconscient se dirigea vers Masiku sans qu’il sache pourquoi. Les bagarres qu’il avait avec le jeune gensouard lui manquait d’une certaine manière, puis son inconscient se dirigea vers son ancienne équipe, il n’avait plus eût de nouvelles d’eux mis a part le fait que Chiraku passait au deuxième tour du tournoi. Ses pensées s’orientèrent vers Yassin qui devait affronter Akku ce tour-ci. Sarouh se rappela avec horreur que son match devait déjà être terminé. Selon Sarouh un véritable ami n’aurait jamais oublié, cet pensé continua de la martyriser le long de l’après midi.

Durant cette dernière il alla à l’infirmerie mais c’était réservé aux membres de la famille.
Bien que dégoutés, il ne pouvait rien faire il repartit donc en direction du terrain d’entraînement après avoir acheté une autre bouteille d’eau revigorante.

Une fois la bas il vu quelqu’un dont l’apparence ne lui était pas inconnu… c’était Masiku ! Sarouh en resta bouche bée

C’est impossible il est a Gensou, un genjutsu ? Pt’ être mais dans ce cas là je suis foutue car c’est fichtrement bien fait…

Masiku : Yo sa va ?
Sarouh : Mouais sa va, mais quesque tu fout ici ?
Masiku : Je suis venu te voir au tournoi pour…
Sarouh :normalement on a pas ce genre d’attention envers un ennemi.
Masiku : …observer tes techniques de combat.
Sarouh : Trop tard je me suis déjà fait éliminé , sinon toi t’es venu au présélection ?
Masiku : Non (mais sa voix le trahissait)
Sarouh : Tu as donc échoué, intéressant
Masiku : T’es fort pour savoir comment on ment ou pas… au fait t’a l’air crevé (il ajouta ces derniers mots avec un sourire sadique)
Sarouh : J’ai vécu pire mais je suis pas au top la c’est vrai. Pourquoi ?

Masiku lui répondit par un violent coup de genou dans les parties génital

Un coup en traître, le conn***, mais bon faut pas dire que je ne mis attendais pas, sa me manqué ! Malgré la douleur Sarouh souris ce qui eût l’air de déstabiliser un tout petit peu Masiku. Sarouh profita de ce moment pour utiliser le Souffle venteux

Masiku fut expulsé et des nuages de poussières furent élevés par le jutsu. Sarouh utilisa un clone et utilisa le henge pour se transformer en grain de poussière bref il était invisible. Masiku fonça vers le clone il dépassa le niveau de Sarouh et tapa avec sa main la gorge du clone qui disparut dans un nuage de fumée, laissant Masiku dans la plus complète béatitude.
Sarouh lança quatre shurikens dans chaque jambes pour l’empêcher de le dépassai en matière de vitesse. Masiku hurla de rage, mais ne fonça pas tête baissé sur Sarouh contrairement à ce que ce dernier s’imaginer. Masiku commença a composer des signes et il hurla : Le javelot terrestre

Quoi il est katon pas doton, a moins qu’il est découvert une deuxième affinité, bon c’est pas le moment de penser a ça il faut le latter en vitesse !

Sarouh permuta avec un rocher, mais Masiku ne pouvait le voir en raison de la poussière qu’il élevai en levant ainsi un énorme javelot de terre.

Sarouh :Yo je suis derrière, apparemment vu que t’aime être aveugle…La nuit noir !
Masiku : Hé me*** !

Après ce genjutsu il s’écarta pour éviter toute attaque a l’aveuglette et but une bouteille revigorante qu’il avait acheté avant de revenir sur le terrain. Ensuite, il attacha avec du fil shiga des shurikens a chacun de ses doigts il tournoya sur lui même ce qui eût pour effet d’envoyer une véritable pluie d’acier sur Masiku. Ce dernier, étant aveugle ne pût l’éviter et fût entailler de partout. Il demanda bientôt grâce. Après cette demande, il s’évanouit.

Sarouh : Ok il c’est bien battu, il a même résisté a son envie de me gueuler qu’il avait une autre affinité que katon. Je vais pas le laisser crever comme une pauvre bouse au milieu du désert…[/color] Sarouh emmena Masiku a l’hôpital et se coucha très tôt au Q.G en espérant que demain il pourrai s’expliquer avec Yassin…

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Message par Invité 17/3/2008, 21:46

Maboroshi Ryuuzaki VS Daihoshi Hayamaru

flash-back a écrit:Il était 9h du matin quand j’ai émergé de mon lit douillet et bien chaud. Je suis parti me préparer pendant 30 minutes, puis je suis descendu en bas de l’hôtel, là où je vis Harue.

Moi : Eh, t’étais pas sensée venir me retrouver au combat ?
Harue : Non, j’ai un programme pour toi.
Moi : Ah bon, lequel ?
Harue : On va au parc d’attraction !!!
Moi : Ah... cool...
Harue : Nan mais je rigolais, on part s’entraîner, et au pas de course !!!
Moi : De toute façon, je l’avais deviné...

Cette fois-ci, nous sommes partis sur le haut d’une montagne, dont nous avons mis 20 minutes à monter. Puis une fois en haut, je vis un terrain plat et spacieux, parfait pour un combat.

Moi : J’ai compris, c’est ici que se déroulera notre combat... toi contre moi...
Harue : Exact’ Je veux te tester avant ton combat de ce midi, pour être sur que tu ne perdras pas !
Moi : Aucun risque...
Harue : J’arrive !

Harue dégaina son katana et vint à ma rencontre. J’ôtai lentement mon katana spécial de mon fourreau, en observant les mouvements de la jeune fille. Elle sauta en l’air et me fit part d’une grosse puissance de frappe descendante. Surpris, je mis mon pied d’appuie en arrière et dévia de quelques centimètres le coup de Harue, pour qu’elle ne soit pas coupée dans son élan, me créant une ouverture sur son flanc gauche. J’arma mon bras pour un coup latéral, et elle disparu brusquement.

Moi : Kakko ii !!!
Harue : Tu ne me vois plus ? Je suis trop rapide peut-être ?

Je regardai autour de moi, et remarquai que de temps en temps, je voyais quelques bouts de son kimono apparaître. Je dégainai mon deuxième katana.

Harue : Oh, un style à deux katanas... je suis impatiente de voir ça !
Moi : Tu vas déguster ma petite !

Je tournai sur moi-même, mes katana à l’horizontal, pour avoir plus de chance de la toucher, mais cette technique était à double tranchant. En effet, ça créait une large ouverture sur mes jambes, ce que Harue exploita rapidement. Elle apparu devant moi, baissée et me lança un coup au niveau des rotules. Je me suis simplement penché à 150° degrés pour dévier le coup avec mon premier katana et lui taillader le bras avec le deuxième. Elle recula promptement et se remit en garde. Je fis de même, mais avec mes deux katanas. Je me suis par la suite précipité vers Harue, j’ai sauté en l’air et j’ai abaissé violement mes deux armes. Elle mit la sienne de manière horizontale pour parer les deux katanas en même temps, et me repoussant vers les airs. Un petit sourire narquois se dessina sur mon visage, tandis que je fis une triple roulade aérienne vers le dos de Harue. Je retombai derrière elle, un genou au sol, et mes deux lames stoppés juste devant la peau de ses membres inférieurs.

Harue : Parfait ! On arrête pour aujourd’hui !
Moi : Ok...

J’ai repris mes fourreaux, et j’ai rangé mes deux armes. Je suis reparti en direction du village avec Harue, en discutant un peu...

Moi : Harue, pourquoi tu as hésité ?
Harue : A faire quoi ?
Moi : J’ai vu que tu as bloqué ton coup juste avant que je mette mes armes devant tes jambes.
Harue : Soit tu divagues, ou soit tu essaie de me faire un compliment en disant que j’aurai pu te tuer facilement...
Moi : Oh... alors je dois divaguer (Laughing)

Après une longue discussion, nous sommes arrivés à Chikara, mais 30 minutes après cette fois-ci. Il était 10h45, je suis rentré me reposer à l’hôtel. Keiji vint vers moi.

Keiji : Alors, ça fait longtemps que je ne t’ai pas parlé toi...
Moi : Maintenant que tu le dis...
Keiji : Alors comme ça tu t’es trouvée une copine de lit...
Moi : Mais n’importe quoi ! T’entends ce que tu dis ? Tu parles d’une fille plate là !
Keiji : Ah bon ? Ah désolé, j’avais pas fait attention à ça... excuses-moi
Moi : Peu importe, je l’apprécie...
Keiji : Quand le départ arrivera, ce sera dur...
Moi : Ouais... Au faite, tout à l’heure je me bats !
Keiji : Sérieux ?! Où ?
Moi : Au terrain d’entraînement du village
Keiji : Euh, celui d’une école de tai ou dans la rue
Moi : Bah dans la rue... Ce serait cool que l’on parte en free style et que l’on se batte sur les toits, ou devant les gens qui font leurs courses... Ce serait marrant !
Keiji : Tu m’étonnes !
Moi : Au faite, j’ai décidé de ne plus utiliser le ninjutsu...
Keiji : Je comprends... faut dire que tu étais pas très doué...
Moi : QUOI ?!!! Sale bâtard !
Keiji, en riant : Bah quoi, c’est vrai, t’étais aussi doué en nin, que les gardes de Chikara sont intelligents...
Moi, en riant aussi : Oh... t’y va fort avec moi... tu pourrais moins m’insulter là !

Et tout ça pendant le reste de mon temps libre avant le combat... mais je savais que j’allais bien m’amuser durant cette bataille contre Hayamaru... je l’appréciais déjà lui aussi !

Je regardai Hayamaru droit dans les yeux, avec l’envie de vaincre. Mes habits n’étaient pas en très bon état, et j’étais un peu crado et j’avais une petite blessure de rien du tout. J’ai alors empoigné mes katanas un peu plus vivement en portant un long sourire sournois et pervers sur mon visage. Mon pouls augmenta brusquement, c’était une montée d’adrénaline. Ce que je voyais se transformait en noir & blanc.

Moi : [ça y est ! J’ai mon Kyôfugan... mais maintenant que j’y pense, je n’ai pas peur... comme mon combat contre Cacaunoy... ce qui veut dire que ce dojutsu est du à l’adrénaline ! Si mes soupçons se révèlent être exacts, alors je pourrai le maîtriser et l’utiliser quand je veux !]

J’avais mes deux katanas en mains, je regardai Hayamaru, en attendant qu’il fonce sur moi, mais celui-ci ne me fit part d’aucune ouverture, en restant sur ses positions.

Moi : Et merde... c’est épuisant tout ça...
Haya : Ouais, tu l’as dis...
Moi : Il faut bien le terminer se combat...
Haya : On n’est pas obligé...
Moi : Si ! On tente un truc bien free style ?
Haya : Comme quoi ?
Moi, après un petit son moqueur : Le QG ?
Haya : Au dessus de la salle des missions ?
Moi : Pourquoi pas dedans ? C’est juste à 300 mètres...
Haya : Je préfère ici mais bon... Let’s go !

Nous sommes partis en direction du QG, toujours en se donnant des coups de katanas. Une fois arrivé aux portes d’entrée, j’ai sauté en l’air et ai défoncé la porte avec un kick. Nous avons monté les escaliers et j’ai fait un salto arrière sur la porte de la salle d’attribution des missions pour l’ouvrir. Nous sommes entrés en nous battant, nos lames s’entrechoquaient. Un shinobi se dirigea vers nous avec hâte, mais Haya et moi nous mîmes à partir sur le toit, en passant par la fenêtre. Pendant que l’on se battait, Harue avait stoppé le jounin, déjà dehors et essayant de grimper jusqu’à nous... ça veut dire qu’elle avait retenu sa force durant notre combat.

Hayamaru contre moi, ce combat était devenu une pure folie. Nous étions tellement excités que nos coups étaient devenus plus rapides. Du sang valdinguait autour de nous, et bientôt, nos membres ne se firent plus sentir. Je ne comptais plus sur la précision mais sur la vitesse de mes coups alliés à leur force. J’ai armé mon bras pour une ultime attaque, et Hayamaru fit de même. J’ai décoché mon coup en même temps que lui, et nos lames respectives vinrent se loger dans le côté droit de l’autre. Nous sommes tombés au sol, épuisés mais morts de rire, nous ne pouvions plus nous arrêter, ce moment avait été trop bon.


Moi, dans une grande euphorie : C’était trop cool...
Haya, dans le même état : Ouais... faut se le refaire un jour...
Moi : Tu l’as dis mon pote...
Haya : Quand j’y pense, on s’est baisé mutuellement...
Moi : Ouais, et bien comme il faut, j’arrive même plus à bouger...
Harue : Eh les deux feignasses ! On se lève !!
Moi : Mais ta gueule toi... tu vois pas qu’on est blessés...
Harue : Bah je vous emmène avant que les autorités arrivent !
Haya : Ok, mais moi je peux plus bouger...

Harue déroula un rouleau blanc, et nous toucha avec ses pieds.

Moi : Eh ! Retires tes saletés de p...

Nous nous sommes transportés dans le dojo Nekoka.

Moi : ... ieds... Ouah...
Harue : Allez, reposez vous...
Haya : Merci beaucoup jeune demoiselle...
Harue : Ah oui, d’ailleurs, je voulais te demander si tu pratiquais un style de taijutsu actuellement...
Haya : Euh non pas du tout
Harue : Alors acceptes de devenir mon élève s’il te plaît...
Haya : Sérieux ?
Moi : SERIEUX ?!!!!
Harue : On ne peut plus...
Haya : J’accepte volontiers dans ce cas...
Moi : Mais sûrement pas !! C’est moi qui ai l’exclu !!
Harue : Nan ! Tu n’as rien car toi tu es méchant et impoli ! Tu ne respectes pas mon travail et ne suis pas mes conseils, dans ce cas, va chier !!
Moi : Oh la pét...
Haya : Très bien, je suivrais vos conseils sempai !
Harue : Voila c’est ça que j’aime... prends de la graine Ryuuzaki...
Moi : Quoi ? Nan mais tu déconnes ? Arf, ma cote...
Harue : Bien fait... allez buvez ça, ça vous remontera en moins de deux...

J’ai bu sa boisson cul sec, et ce n’est que après que j’eus senti ce goût acre et très déplaisant. J’ai regardé Hayamaru, qui lui buvait sans faire de grimace ni autres mimiques, j’ai donc fait de même pour pouvoir rivaliser. Même si je faisais semblant de le détester à ce moment, en ne daignant même pas le regarder lorsqu’il me parlait, je savais que c’était un des meilleurs types que j’ai connu dans ma vie, et qu’il était déjà devenu un super pote pour moi...

[To be continued...]

Edit : Combat modifié, ancienne version remise après concertation avec Hayamaru [le pire c'est que j'avais mal changé xD]

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Message par erol 18/3/2008, 17:33

[HRP] Voir mon poste précédent pour comprendre [HRP]

* Quelques minutes nous suffirent pour faire le tour du village. Il était assez petit. Nous allâmes vers le point de rendez-vous quand tout à coup, une explosion retenti. Nous courûmes vers l’ouest et arrivâmes à une plaine où se tenait Makouno ainsi qu’une vingtaine de barbare autour de lui. *


-(Barbare)- Alors mon gars ? Tu fais moins le malin hein ?
-(Makouno)- Pfff … vous êtes pitoyable. Utiliser de la dynamite.
-(Barbare)- Imbécile ! On accroche la dynamite à cette chaîne ultra résistante et dès que le bout touche quelque chose …. BOUM !
-(Makouno)- Enfin … de toute façon vous n’allez pas survivre bien longtemps ….
-(Barbare)- Répète ça ?!


* Le barbare fit tourner une chaîne autour de son poignet et jeta le bout vers Makouno. L’explosion ne se fit pas attendre et un volute de fumée apparut nous empêchant de voir ce qu’il se passait. *


-(Kirin)- Bon retour.
-(Makouno)- Merci.


* Je me retournai et je vis Makouno derrière nous avec un trou juste en dessous de lui. Il était donc Doton ?! Il me montra du doigt. *


-(Makouno)- Tu devrais regarder devant toi.


* Je regardai devant moi et vis deux hommes qui fonçai sur moi l’un une chaîne avec de la dynamite au bout et l’autre une fourche. Je dégainai mon sabre, pris un kunai explosif et couru vers eux. L’homme à la dynamite jeta sa chaîne sur moi. Je jetai mon kunai sur le bout de la chaîne. Une énorme explosion retentit et je profitai de la fumée pour continuer ma course vers les hommes. L’homme à la chaîne me cherchait en criant des ordres à son camarade. Je sautai en l’air et mis mon genou en avant. *


-(Erol)- Shuugeki ogosoka !!


* L’homme ne pu se retourner qu’il se prenait mon coup de genou au milieu du dos. Il tomba par terre avec l’incapacité de bouger. La fumée ne s’était pas encore dissipée que je marchai tranquillement vers lui le sabre en main. Il criait des paroles incompréhensibles à son compagnon qui le cherchait. L’homme essaya de ramper mais ne pu bouger que de dix centimètres. Je posai mon pied sur lui et exerça une énorme pression sur sa blessure. J’entendis un craquement. Je le retournai d’un coup de pied et le regardai droit dans les yeux. Je levai mon sabre et l’abaissa d’un coup sec. Un coup de pied dévia ma pointe qui s’enfonça dans son épaule. Je roulai sur le sol et me relevai. La fumée s’était dissipée et je vis son compagnon à la fourche. *


-(Erol)- Tu as osé … Enfoiré j’vais te massacrer !!


* Je concentrai mon chakra dans mes pieds et couru vers lui à pleine vitesse. Il cria et me mis un coup de fourche que j’esquivai en sautant sur le côté. Je profitai de l’ouverture qu’il m’offrait pour lui planter mon sabre dans sa cuisse. Il cria et tomba à terre. Je m’approchai de lui et il me mit un coup de fourche qui me frôla la joue. Un filet de sang perla sur ma joue. Je lui mis un coup de pied dans la mâchoire et lui fit lâcher la fourche en lui coupant le bras. Il hurla pendant que je levai une fois de plus mon sabre pour lui planter dans le ventre. Encore une fois ma trajectoire fut déviée par un coup de poing cette fois. Deux autres hommes étaient venus à leurs rescousses. J’allai courir vers eux quand je vis des branches d’arbres sortirent du sol et les étrangler. Je regardai autour de moi et vis que plus aucun des barbares n’étaient debout. *


-(Makouno)- Enfin finit … Euh faut pas les tuer.
-(Kirin)- La ferme.
-(Makouno)- Kirin c’est un ordre du Kage ! Nous ne pouvons pas tuer pendant cette mission
-(Erol)- La ferme il t’a dit !T’es un Chikarate ou pas ?


* Kirin étrangla encore plus les deux hommes. *


-(Makouno)- Kirin arrêtez !
-(Erol)- Tu vas la fermer ?!


* Je bondis sur le chuunin en sortant mon sabre. Je ne pu faire un mètre qu’une branche s’enroula autour de mon corps et me serra. Je ne pu faire un seul geste. Les deux barbares étaient a terre mais vivant. Il les avait fait s’évanouir. *


-(Erol)- Bor … Bordel qu’est-ce que tu fou ?!
-(Kirin)- Tu allais trahir Chikara. J’vais pas laisser faire ça.
-(Erol)- Trahir Chika … Mais qu’est-ce que tu racontes ?!
-(Kirin)- Deux choses. Premièrement tu t’attaques à un shinobi de Chikara, c’est un acte qui peut aller très loin.
Deuxièmement tu désobéis aux ordres directs du Kage.
-(Erol)- Mais c’est toi qui allait les tu…
-(Kirin)- Je sais ce que je fais. Désormais tu vas apprendre à rester à ta place.
-(Makouno)- C’est bon je pense qu’il sait maintenant. Bon les brigands là. Qu’est-ce qu’il se passe maintenant ?
-(Brigand)- Là on se casse mais on va bientôt revenir avec notre chef. Vous êtes mort !


* Ils partirent emportant les blessés et en ramassant leurs armes encore valable. De mon côté, Kirin avait arrêté sa technique. Je ramassai mon sabre par terre et le rangeai dans son étui. Je réajusta mon long manteau et rejoignais les deux Chikarates. La nuit tombai *


-(Kirin)- Des informations sur leur chef ?
-(Makouno)- Bof … C’est juste qu’il est le plus grand de tous. Enfin j’pense. Sinon demain ils viendront avec toutes leurs troupes. 30 à tout cracher. J’vous conseil de vous reposer. A demain j’vais faire un ronde pour voir s’ils sont bien partis.


* Il disparut dans un éclat de fumée. L’air froid me frotta sur la nuque. Mon senseï marcha en direction du village comme si rien ne s’était passé. Tout d’un coup il s’arrêta et se retourna vers moi. *


-(Kirin)- Demain tu combattras leur chef.


* Sans un mot il reprit sa marche en direction du village. Je le suivis et nous allâmes dans la maison qui nous servait de « maison d’accueil ».

Le lendemain matin je me réveillai assez tôt. Je restais au lit longtemps. Vers 11 heures mon senseï me réveilla en me donnant un coup de pied qui me fit valser hors du lit. Nous passâmes la matinée à nous préparer à l’attaque des brigands. En début d’après midi nous allions là où ils avaient attaqué la veille. Vers 3 heures de l’après midi, ils étaient au rendez vous. Une bonne trentaine d’homme tous avec leur chaîne explosive bizarre. Un homme se tenait plus en hauteur. Il était assez grand et on voyait, même de loin, qu’il était très musclé.
*


-(Chef des brigands)- Vous là-bas ?! Renoncez à protéger ce village, ou vous mourrez !
-(Kirin)- Je vais d’abord m’occuper de tes hommes ! Ensuite * Il me montra du doigt. * Tu combattras ce jeune homme !
-(Chef des brigands)- Ne te fou pas de moi ! A l’attaque !!
-(Kirin, murmurant)- Je m’en occupe.


* Les hommes chargèrent en criant pendant que Kirin marchait tranquillement vers eux. Tous les hommes lancèrent leurs chaînes sur Kirin. Il y eut une énorme explosion faisant vibrer toute la terre. Les hommes continuèrent de courir dans la fumée et bientôt arrivèrent à ma porté. Je ne bougeai pas d’un poil alors qu’un soldat sautait pour m’embrocher. Quand son sabre fut à 30 centimètres de mon crâne, pleins de bûches sortirent de terre et frappèrent tous les hommes au ventre les faisant s’envoler. Ils retombèrent tous inconscient. La fumée finie de se dissiper et Kirin se tenait au milieu, debout, en pleine forme. *


-(Kirin)- Toujours s’assurer que son adversaire est bien mort ou K.O. Bon Le chef là ! Viens affronter ce jeune homme ! Si tu le bats, tu pourras partir avec tes hommes. Mais s’il te bat, … tu vas passer un tour par les prisons de Chikara !
-(Chef des brigands)- …. Ce jeune homme ? Il est mort !


* Le chef des brigands s’approcha de nous. Quant-il fut à quelques mètres de moi, il sortit une énorme lance et prit une hache de l’autre main. *


-(Chef des brigands)- N’aie pas peur … tu ne souffriras pas !


* Il courut vers moi avec une vitesse plutôt lente. Je sortis mon sabre et attendis son attaque. Il essaya de me transpercer avec sa lance et j’esquivai en sautant sur le côté. Il profita de ce moment pour me mettre un coup de hache à l’horizontale. Je pris appuie sur ma main et exerça une pression pour sauter en l’air esquivant ainsi le coup. Il voulut partir mais je pris des makibishis et en lançai partout autour de lui. Je pris aussi deux kunais et les lançai sur lui. Il para le premier avec sa hache en la dégageant vers la droite et le deuxième avec le manche de sa lance la dégageant vers la gauche. Il laissa une énorme ouverture sur son torse et j’en profitai pour mettre mon genou en avant. *


-(Erol)- Shuugeki ogosoka !!


* Il se prit mon coup de genou dans le ventre et tomba par terre. Je fis un petit bond en arrière pour ne pas marcher sur mes makibishis et attendis. Toujours s’assurer que son adversaire est bien K.O. J’attendis quelques secondes quant-il se mit à bouger. *


-(Chef des brigands)- La vache. Quel coup puissant. Tu sais que tu pourrais devenir célèbre si tu étais brigand ?! Mais désolé pour toi tu n’auras pas cette occasion. Si ta maman serais là elle se ferait beaucoup de mourront pour toi tu ne crois pas ?


* C’est ce qu’il me fallait. De la colère et l’adrénaline. Je laissai la rage monter en moi. J’allai trucider ce gars. Je mis mon sabre en avant et courus vers lui à toute vitesse en concentrant mon chakra dans mes pieds. Il fut étonné et me donna un coup de lance que j’esquivai en courant sur le coté. Il essaya de me mettre un coup de hache en me coupant à l’horizontale encore une fois mais j’esquivai en me baissant. En me relevant je levai mon sabre lui coupant ainsi le bras qui tenait la hache. Il hurla et essaya de se dégager mais je lui coupai aussi l’autre bras. Il tomba à terre à cause de la douleur pendant que je léchai mon sabre plein de son sang. L’homme cracha du sang et essaya de parler. *


-(Chef des brigands)- Tue moi vite, avant que la douleur me fasse perdre la notion de mes sens. Je veux voir la tête de l’homme qui m’a tué.
-(Erol)- Malheureusement je ne peux pas te tuer. Mais j’ai gagné.


* Je regardai Kirin qui fit un signe à Makouno. Makouno s’empressa de venir à mes côtés et de soigner le chef des brigands. C’était un médecin. Décidément je ne connaissais vraiment pas beaucoup de chose sur cette mission. Après une petite demi-heure les brigands partirent avec leur chef en faisant la promesse de ne plus attaquer le petit village. *


-(Erol)- Pourquoi avoir laissé partir le chef ?
-(Kirin)- Ces hommes sont des crapules, quant-il verront qu’il ne pourra même pas se défendre contre un moustique ils le laisseront tomber voir le tuer.
-(Erol)- A d’accord. Et pour la mission ?
-(Kirin)- Ils ne reviendront pas. Donc on a finit ici. On rentre. Makouno ? Tu rentres aussi ?
-(Makouno)- Non , je dois rester encore une semaine pour voir s’ils ne reviendront vraiment pas. Bonne route !
-(Kirin)- Ok. On est partit.


* Le retour fut beaucoup plus tranquille nous miment une journée (sans compter la nuit ou nous avons dormis) pour atteindre Chikara. Mon senseï me quitta aux portes de la ville. Je m’enfonçai tranquillement dans Chikara pour rentrer chez moi. Il y avait encore des genins de Mahou et de Gensou. Je vis aussi une nouvelle affiche que je n’avais encore pas vue. Akkurenaï contre Yoso. Mon ancienne adversaire avait finalement atteint la finale. Je serrai les poings. La prochaine fois c’est moi qui gagnerais ! *
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Chikara, village caché du sable [RP] Empty Re: Chikara, village caché du sable [RP]

Message par Invité 18/3/2008, 21:20

RP où figure le nom de plusieurs modos [enfin... xD]

Je me suis réveillé le lendemain du combat contre Hayamaru dans le dojo de l’école Nekoka, et quand j’ai ouvert les yeux, je ne ressentais plus aucune douleur physique. Je me suis levé assez difficilement, j’étais ankylosé et j’avais mal aux articulations. Après un petit étirement basique de 10 minutes, je suis allé voir Harue pour lui passer le bonjour avant de retourner à l’hôtel. A mon retour dans le “palace“ façon Chikara, Keiji ne me posa aucune question sur ma journée et soirée de la veille et se contenta d’un...

Keiji : J’espère que tu as pensé aux contraceptifs...

Je fus à la fois choqué et intrigué par sa phrase. Choqué car il a cru que étant dans un village sec de chez sec, en compagnie d’un mec et d’une fille après un combat rude, j’ai trouvé la force de faire... cet acte. Intrigué car... c’est la première chose à laquelle il a pensé !!!! [Plus on grandi, plus on devient pervers... faut voir la réputation d’un certain Ma... Makaïa, non, Makailla... euh Makaya !! Ce type est réputé pour être un gros alcolo pervers de Mahou... [Heureusement que je suis de Gensou.]

Je suis parti prendre une petite douche pour me décrasser et enlever les taches de sang sec sur ma peau. Pendant que je frottai ma couche supérieure épidermique, je relatai les évènements fraîchement passés dans ma tête. Le combat en haut du QG m’a fait découvrir un truc, une voie à prendre... celle du sabre ! J’ai envie de pouvoir manier le katana tel un maître samurai et d’en faire une arme essentielle à mes victoires, qui sera aussi un atout contre certains jutsus. Il ne fera qu’un avec moi, nous serons...

Keiji : Ryuu !! Sors de là, il faut que j’me lave aussi !!!
Moi : Ah désolé, je sors...

J’ai fermé l’eau chaude, qui me faisait beaucoup de bien quand celle-ci clapotait sur mon dos balafré. Le mécanisme était un peu étrange, un long tuyau de bambou montai jusqu’au dessus de ma tête et l’eau sortait de là, ce fut la première fois que je vis un tel système. Je suis sorti rapidement pour ne pas que Keiji me kick les fesses puis je me suis rhabillé avec mes vêtements de change. Je suis en suite allé aux commerces pour voir s’il n’y avait pas quelque chose à faire. En effet, quand je fus sur les lieux, je vis un spectacle de cirque en plein air, je me suis donc hâté en cette direction. A peine j’eus me montrer enthousiaste à ma venue que le clown principal me désigna du doigt.

Clown : Toi ! Viens, montes sur la scène !!
Moi : Moi ????
Clown : Ta gueule toi, je parle de la fillette derrière toi ! Allez viens petite !! Applaudissez public, applaudissez cette ravissante et mignonne petite fille !!

Je partis, enragé et vexé par les paroles du méchant clown pendant que les spectateurs exclamaient leur joie. Je me suis ensuite dirigé vers l’académie, là bas il devrait se passer un truc me dis-je, exacte ! Quand je fus enfin arrivé à l’académie, un jeune chuunin me regarda et dit à haute voix...

Chuunin : Voila !!! Ca c’est un ninja classieux et accompli !
Moi : N’en faites pas tant, et puis je ne fais que passer...
Enfant : Tais-toi, tu nous déconcentres dans notre admiration de la photo d'Ardanel le fameux jounin !
Moi : AHHH la ferme sale gosse !

Je suis reparti une fois de plus, vexé, d’un pas décidé et vif en direction de l’arène. Je marchais dans une rue principale quand un vieillard me bouscula.

Vieillard : Oh désolé jeune homme
Moi ; AH BAH OUI, HEUREUSEMENT QUE VOUS ÊTES DESOLE !
Vieillard : Ne vous énervez pas s’il vous plait, et pour me faire pardonner je vais vous donner un tuyau... Vous voyez ce petit sentier ? Si vous passez par là, vous arrivez directement à l’arène et à ce qu’il parait, il y a des trucs intéressants qui s’y passent.
Moi : Oh merci beaucoup monsieur !
Vieillard : De rien mon bon !

J’ai donc pris le sentier sombre et feuillu. Arrivé à une bonne cinquantaine de mètres plus loin de l’entrée du sentier, je vis une bande de malfrat se diriger vers moi.

Malfrat 1 : Eh toi, t’as de l’argent ?
Moi : Ta gueule et laisse moi passer !
Malfrat 2 : Mais c’est qu’il est insolent ce p’tit con !
Moi : Bah viens te tape, et on verra c’est qui le con !!

Les 7 malfrats ont couru vers moi, en sortant couteaux, machettes, et poignards. J’ai serré mes poings, et me suis mis en garde. Le sentier étant assez étroit, ils sont venus un par un, ce qui était parfait pour moi. Le premier vint à ma rencontre et lança son bras loin devant lui, essayant d’atteindre mon cou avec son couteau. Je pris sa main avec facilité, la tournai brièvement et lui cassai donc le poignet. Il se tordit de douleur et se jeta au sol, tandis que le deuxième malfrat pris appui sur le mur et sauta sur moi en abaissant sa machette. Je dégainai rapidement mon katana spécial et lui transperçai le foie, tout en déviant sa lame. Je retirai mon katana du foie du malfrat, fis un pas offensif en me baissant, la tête au niveau du bassin de mon prochain ennemi, puis me redressai en élevant mon arme, de telle sorte qu’elle tranche le coup au malfrat qui était posé devant moi. Les 5 autres malfrats battirent en retraite, en se hâtant, puis soudainement, je vis un reflet et ils tombèrent tous au sol, coupés en 2, 3 ou 4. J’ai avancé, intrigué, et j’ai vu le vieillard de tout à l’heure.

Vieillard : Bande de bons à rien, si vous reculez en tournant le dos à vôtre ennemi c’est que vous voulez mourir... Chance pour vous que ce soit de ma lame que votre mort survint !
Moi : Tu caches bien ton jeu fumier...
Vieillard : Je sais... mais si j’avais vu que tu étais ninja, je ne t’aurai pas enduit vers ce sentier...
Moi : Qui vous dis que je suis ninja ?
Vieillard : Ta posture au moment où tu as tué mon 2e homme, ce n’est pas une posture de samurai, ni de pirate... et vu que je ne connais pas les postures des shinobis...
Moi : Ah je vois... Je suis genin de Gensou !
Vieillard : Genin ?! (Rires) dans ce cas, je peux te tuer facilement... allons dans un endroit plus vaste... suis-moi !

Il parti en courant, et je le suivis en faisant de même. Après 5 minutes de sprint, nous arrivâmes dans une sorte de surface circulaire couverte de paille. Le papy se retourna vers moi, me partagea un doux regard en dégainant lentement son sabre.

Vieillard : C’est ici que se fini ta belle histoire... shinobi !
Moi : Ta gueule papy, et observe le maître !

Le vieillard pris une position étrange, que je ne connaissais visiblement pas. Il bougea son pied gauche situé à l’avant de quelques centimètres toutes les 10 secondes environ avant de se précipiter sur moi et m’attaquer sans répit. J’attrapai rapidement mon arme et parai ou esquivai ses coups, en prenant soin de ne pas me faire toucher sous peine d’abîmer mes vêtements. Je voyais clairement sa lame bouger, et suivais ses mouvements des yeux pour plus de facilité. Le vieillard me sourit avant de stopper son katana en le laissant redressé vers le ciel.

Vieillard : Tu te défends bien petit !
Moi : T’inquiètes papy ! Je vais faire du kenjutsu, mon art principal c’est pour ça que je m’applique !
Vieillard : Ah bon ? Ok, alors observe petit...

Il abaissa lentement son katana, puis m’attaqua encore plus rapidement que précédemment. Ces attaques étaient aussi plus fortes, je reculais à chaque entrechoquement et je ne pouvais même plus voir les mouvements de sa lame, elle était devenue invisible. Je voyais simplement un mince reflet qui m’indiquait où placer mon arme pour ne pas me faire taillader.

Vieillard : Allez plus vite maintenant !

La vitesse de ses coups augmenta encore, et cette fois-ci, le reflet avait disparu lui aussi. J’essayai tant bien que mal d’esquiver, mais mes habits furent coupés à quelques endroits, sans que je puisse distinguer sa lame de ce qui nous entourait. Plus il attaquait, plus ses mouvements de bras et de jambes étaient complexes, puis après avoir tournoyer sur lui-même une ou deux fois, il s’arrêta net, sa lame sous mon cou et la mienne sous son pied. J’ignorai totalement comment et quand il avait pu faire ça, mais c’était incroyable... j’allais mourir. Je fermis les yeux, et entendis un “clic’, clic’ !“, puis quand je les ré ouvris, son katana était rangé dans son fourreau et mon arme dans le mien.

Moi : Vous... vous ne me tuez pas ?
Vieillard : Tu es vraiment naïf petit... tu as vraiment cru que je faisais parti de cette bande de bouffons lâches et sans convictions ?
Moi : ??
Vieillard : Je suis un professeur de kendo, et aussi un nomade. J’étais simplement de passage à Chikara, et quand j’ai vu que tu te battais, j’ai eu envie de tester ta force...
Moi : Et alors ?
Vieillard : Bah je te félicite...
Moi : Sérieux ?
Vieillard : NON ! TU ES FAIBLE !! Mais ton arme est magnifique, c’est celle de Nami Akezumi !
Moi : Hein ?
Vieillard : L’ancien chef d’un camp de Samurais, tué lors d’une invasion de guerriers dans son camp. Une histoire dit qu’un marchand se baladant avec ces guerriers l’aurait retiré du défunt homme. Enfin bref, je recherche de bons élèves à travers Shinen...
Moi : Moi ! Moi ! Moi !!!!!
Vieillard : Nan ! 1. Tu es faible, extra faible ! 2. Je pars de Chikara demain matin !
Moi : Ah... Moi je pars dans... OHHH JE PARS DEMAIN !!!!!!!!!
Vieillard : D’accord... vu que tu portes l’arme de Nami Akezumi et que tu pars demain, j’accepte !
Moi : Sérieux ?!!!!
Vieillard : NAN !
Moi : Oh...
Vieillard : Je déconne “wesh“ !
Moi : Euh... (rires embarrassés)

Vieillard : Tu rentres à Gensou ?
Moi : Oui !
Vieillard : Très bien, dans ce cas je t’entraînerai !
Moi : Ok’, par contre, il y aura mon tuteur... Tanyaki Keiji !
Vieillard : Keiji tu dis... Bon très bien, à demain !
Moi : Yosh’ papy ! Au faite, c’est quoi ton blaz’ ?
Vieillard : Euh... désolé mais je ne sais dire que “wesh’ ! “
Moi : Ah ok... je voulais dire « c’est quoi ton nom ? »
Vieillard : Ah ok !!!!! C’est comment déjà ? Blaz’ ? Retenu ! Ah oui, mon “blaz’ “ c’est Udo Seiichi ! Et toi gamin ? C’est quoi ton “blaz’ “ ?
Moi : Moi c’est Maboroshi Ryuuzaki !
Seiichi : MABOROSHI ?!!!! Tu connais donc Shimaru ?
Moi : Euh pas vraiment, j’ai juste déjà entendu son nom...
Seiichi : Yosh’ Maboroshi, demain on commence l’entraînement... et tu voudras bien... m’apprendre de nouveaux mots “styli“ ?
Moi : Pourquoi ?
Seichii : Ca fait “teen“ ou “jeun’s“ ou “gansta’z“ !!!
Moi : Ok... [Oh my god]

Je me suis retourné pour me diriger vers l’hôtel et je vis Harue, faisant une tête d’enterrement.

Harue : Alors comme ça tu allais partir sans me dire au revoir...
Moi : Bien sur que si ! Je ne t’ai pas déjà oublié...
Harue : Ryuu... t’entraîner... c’était marrant... et puis toi et moi ensemble avec Haya, ça serait super non ?
Moi : Euh... oui...
Harue : Restes avec nous !
Moi : (rires) Désolé je ne peux et ne veux pas...
Harue : Pourquoi ? Tu ne veux pas rester avec moi ? Je t’entraîner...
Moi : Stop’ ! Je t’arrête tout de suite... pourquoi je resterai dans ce village pourri ? Regarde ce sol, je n’ai jamais rien vu d’aussi sec’... quoi que tes seins aussi sont secs... peut-être même plus que le sol en fin de compte (rires)
Harue, en me frappant : T’es méchant avec moi !
Moi : Je rigole Harue-chan... Je reviendrai te voir, ne t’inquiètes pas...
Harue : Viens dormir au dojo ce soir, s’il te plaît...
Moi : Non, désolé... je dois préparer mes affaires... [Et puis si je ne dors pas à l’hôtel ce soir, ce pervers de Keiji va encore penser que... enfin bref]

J’ai contourné Harue puis je suis rentré à l’hôtel en marchant. En rentrant, Keiji me dit d’aller faire mon sac de voyage et d’aller dormir, ce que je fis.

Le lendemain

A 5 heures du matin, Keiji m’a réveillé, puis je suis allé me préparer. Nous avons quitté l’hôtel à 6 heures environ, et nous nous sommes retrouvés aux portes du village où se trouvait déjà Seiichi.

Keiji : Seiichi...
Seiichi : Keiji...
Moi : ?
Seiichi : Ca fait longtemps...
Keiji : Très...
Moi : Vous vous connaissez ?!!!
Seiichi : C’est moi qui lui ai enseigné les bases du Kenjutsu
Moi : Sérieux ? Dans ce cas je ne vous veux plus comme prof’ vu comment Keiji se débrouille au sabre...
Seiichi : Attention, je ne lui ai enseigné que les bases... nuance...
Keiji : Bon vous la fermez vous deux ?!!
Moi : (rires) T’énerves pas Keiji...

Nous nous sommes mis en route, sous le regard froid des gardes du village... nous partions de Chikara vers de nouvelles aventures...

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Message par Adashitzu 19/3/2008, 13:38

[ pour comprendre, lire mon premier post sur ce topic ]

Le lendemain, je me rendais aux bains.
Il était 8 heures moins cinq et le sensei nous attendait déjà.
Je m'approchais de lui lentement, et il me dit :
- Yosh, la forme Adashitzu ?

J'étais il faut dire un peu gêné.... Mais finalement je lui répondit :
- Oui Yomasu-sensei, je vais bien.
( Yomasu-sensei ) J'ai entendu dire qu'a l'examen genin tu avais réussi un parfait clone de sable, félicitations.
( Moi ) Euuuh... Merci beaucoup sensei....

A ce moment là, Ren arrivait accompagné d'Hana.

( Ren ) Salut Adashitzu, Bonjour sensei ! Belle journée n'est-ce pas ?

( Hana ) Konichiiiwaaaaaa tout le monde !!! Elle avait toujours ce sourire qui m'avait marqué la veille...

( Yomasu-sensei ) Yosh, aujourd'hui je vous ai donné rendez-vous afin de tester vos capacités en équipe. Je vais vous laisser toute la matinée pour faire connaissance et élaborer une stratégie de combat en équipe. Vous avez jusqu'à midi et après vous me rejoindrez dans le désert à l'entrée du village, afin de m'affronter.
Votre mission ne sera pas de tout repos, vous devrez me soutirer deux parchemins accrochés à ma ceinture. Si vous échouez, vous retournerez étudier à l'académie.

Puis le sensei partit, nous laissant plantés devant les bains.

( Hana ) Vous avez entendu ? SI on échoue on devra repasser à l'académie !!! On va raaater, le sensei à l'air trop fort !!
( Ren ) Ne pensons pas à la défaite, commençons d'abord par présenter chacun à notre tour nos atouts en combat et nos faiblesses, afin de faire le point sur nos capacités individuelles. Nous monterons une stratégie de groupe après. Ne grillons pas les étapes.
Il avait dit ça sur un ton calme et serein, il n'était pas stressé, je devinais tout de suite qu'il était très intelligent.

( Moi ) Excellente initiative Ren, je vais commencer. Je suis assez fort en Taijutsu, c'est à dire le combat en corps à corps. J'ai un très bon niveau en Karaté, I-Aido et le Kendo. Donc je me débrouille pas mal avec mon sabre.
Niveau Ninjutsu, clone de sable, Substitution, Genkaku no Jutsu qui consiste en des Hallucinations et Suna kabe no Jutsu qui consiste à l'apparition d'un mur de sable qui surgit à une vitesse surprenante et et me protège de toute attaque physique ou à distance.

( Hana ) A moi maintenant. Je suis nulle en Taijutsu, mais je possède une technique propre à mon clan :

A suivre... je rééditerais...
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Message par Ryûkki 19/3/2008, 19:47

Ryûkki i : Ah, comment ça fait plaisir d’être Genin ! Il faut désormais que je travail mon style de combat car bon il ne faut pas que je me relâche tout de suite. Tiens et si j’allais à la plateforme rocheuse ? En avant !

Le jeune éclair filait à vive allure dans les rues de Chikara grâce à sa technique de déplacement. C’était une sorte de jeu pour lui, slalomer entre les gens, les commerçants etc. Il commençait à s’habituer à sa vitesse, il était plus endurant. Il arrivait enfin sur place, et dégainer son sabre.

Ryûkki : Ne faire qu’un avec son arme… Ne, faire qu’un, avec son… Arme….

Il maniait son sabre avec difficulté, peut être du fait qu’il ne soit pas si alaise que ça. Sa gestuel n’était pas coordonnée, il lui fallait un objectif, une proie. Quelque chose qui lui donnerait du fil à retordre. Ryûkki aime beaucoup le challenge, les défis.

Ryûkki : Il faut que j’aille dans le désert chasser un peu afin qu’il y ai un enjeu…

Ryûkki ressentait tout à coup une présence, en une fraction de seconde, il créait un champ magnétique sous ses pieds, et inversait la polarité de son corps. De ce fait, il fût projeté dans les airs et esquiva un kunaï sortit de nulle part. Il retombait quelques mètres plus loin, et malaxait son chakra au cas où il devrait attaquer.

Ryûkki : Mais qu’est ce que c’était, je ne vois personne. Mieux vaut rester prudent et fuir. * Il partait en direction du village avec son déplacement éclair, mais cela ne durait pas. Il fût stoppé net d’un coup de poing au visage* . Mais qu’est ce que… ?

Un grand homme fin, portant l’uniforme chuunin se tenait devant lui. Cet homme portait un grand Katana dans le dos tout comme Ryûkki. Il restait là à fixer le Genin à terre qui se tenait le nez d’une main.

Le Chuunin : Alors c’est donc toi le jeune éclair. Tu es rapide mais tes reflexes sont à travailler. Je suis Keira, ton sensei.

Ryûkki (qui ne comprenait pas trop) : Comment ça mon sensei ? Vous m’attaquez comme ça et ensuite vous m’annoncez que vous êtes mon maître ? Y’a un truc qui cloche.

Keira : Bien sûr que non il fallait que je te test, comme ton équipier.

Ryûkki : Comment ça « équipier » ?

Keira : T’es sourd ou tu le fait exprès ? Il n’y a pas de sens caché derrière ce que je te dis alors évite de me faire répéter, je déteste ça, tout comme toi tu déteste te retrouver mêler aux autres.

Ryûkki : Excusez-moi Keira-sensei.

Keira : Ce n’est rien mon garçon, allons-y. Nous devons retrouver Masuda devant le QG et nous sommes en retard. Montre moi ta vraie vitesse Ryûkki, ne retiens pas tes mouvements, je veux que tu soit là bas avant moi.

Ryûkki : Oui sensei ! « Idoujiba no Jutsu !! » * C’était un départ remarquable que Ryûkki venait de faire, Keira était vraiment surpris de voir une tel chose se produire *

Notre jeune Genin arrivait au QG dans un état pathétique, tout essoufflé et au bord du vomissement. Keira y était déjà. Il s’entretenait avec un jeune garçon très clair de peau. Il avait une coupe de cheveux assez spéciale, une sorte de crête bicolore, d’un blond –roux vers un blond traditionnel. Il était de taille moyenne, avec une carrure assez frêle.

Keira : Approche Ryûkki, je te présente Masuda. * Le blondinet faisait des signes de la main que l’on aurait pût qualifier de « Bonjour » *

Ryûkki Acquiesçait d’un signe de la tête et tendit la main à Deikirr. Après les présentations, Keira allait briffer les deux genins, mais à ce moment là, le Chef du Village les interrompit…

Chikarakage : Bonjour vous tous, je suis venus dire à Masuda que cette mission ne t’es plus assignées. Tu changes de team.

Masuda : Compris, mais puis-je savoir pourquoi ?

Chikarakage : Oui bien sûr, à cause de ton affinité au Suiton. Il serait dangereux de vous laissez vous deux dans la même team. Ryûkki maitrise le Raiton, alors tu comprends ?

Masuda : Oui tout à fait.

Chikarakage : Allons-y alors. Vous deux j’vous laisse, je pense qu’il est temps de partir.* Keira et Ryûkki acquiescèrent d’un même signe de tête *.

Keira : Bien maintenant que nous sommes tout les deux, je vais d’abord t’expliquer pourquoi j’ai demandé spécialement à être avec toi et Masuda si possible, c’est à cause de mon affinité le…
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Message par Yassin 20/3/2008, 21:32

______ Pendant que Kezashi était vexé du fait qu’aucun ne semblait porter attention à son discours, Izyroth et Miiyu, s’apprêtaient à annoncer les deux heureux finalistes dont je faisais potentiellement parti. Les demi-finales venaient de prendre fin la veille. Je me trouvais parmi les quatre demi-finalistes : Akkurenaï dont j’avais essuyé une défaite, Yoso qui m’avait infligé de sérieux dégâts avec ses attaques électriques… Et le dernier était un homme de peau mâte assez imposant, une carrure et une silhouette colossal, avec une taille de géant, portant une épée au dos presque aussi grande que lui et sûrement aussi lourde… Je crois bien qu’il s’agit d’Hisoka Kaneda. D’ailleurs, je crois bien qu’il était avec nous lors de notre trajet Mahou Chikara. Heureusement que je n’avais pas eu le malheur de le rencontrer au tournoi, sinon, j’aurais été certainement découpé en morceaux par ce monstre de puissance et de force brute.

______ Nous nous trouvions aux portes de l’Arène, devant les juges, au sein de toute cette foule de chikarates, genins de tout village, commerçants, ouvriers, shinobis, étudiants, enfants, hommes, femmes, qui, ensemble, produisait un énorme brouhaha devant l’immense bâtiment entouré de ce sable, si chaud, si sec, parfois volatile, parfois lourd, emporté par le vent comme errant sur le sol formant une étendue ambrée, ocre, et omniprésente à Chikara.

______ Les quatre demi-finalistes regardaient avec hâte et impatience les résultats du tournoi. L’attente fut assez longue jusqu’au moment où Izyroth commençait à mettre en place une banderole dont personne ne pouvait encore voir pour l’instant, mais Kezashi mit fin à son discours pour nous dire les finalistes.



Kezashi – Et nos deux finalistes sont… Akkurenaï pour Chikara… la finaliste ne se gêna pas pour pousser un cri de joie… Et Yozo pour Gensou ! Le deuxième finaliste lança lui aussi un cri de victoire…


______ La banderole était finalement mise en place, laissant voir en rouge, enfin en partie, les noms de des deux finalistes du tournoi, sans surprise suite à l’annonce de Kezashi. Yozo avait donc gagné notre combat, dans lequel je m’étais bien amoché mais aussi amusé. Je n’étais pas vraiment affecté par cette nouvelle, cela ne me provoquait ni de tristesse, ni la joie… Quoique, je me sentais libéré par la pression et le stress que fournissait chaque combat, une petite liberté. J’étais aussi fier de moi, un Genin qui venait de sortir de l’Académie, ne connaissant aucun jutsu de base, arrivant aux demi-finales. Maintenant, je devais profiter de mon voyage à Chikara pour en apprendre plus et en profiter.

______ Je tournai mon regard vers Hisoka, le colosse, faisait ,contre mauvaise fortune, bon coeur et semblait cacher sa déception en félicitant les finalistes. Brusquement, il leva sa tête, le regard plongé au loin, un mince sourire aux lèvres. Curieusement, cela me rassurait. Je m’avançais vers lui…



Moi – Bonjour … Je suis Yass… Hisoka me serra la main fortement

Hisoka – Tu es Yassin Shinmen, Genin de Mahou. Quant à moi, je m’appelle Hiso…

Moi – Tu es Hisoka Kaneda, en souriant Genin de Mahou. Désolé de t’avoir interrompu…

Hisoka – Ne t’inquiètes pas, il faut dire aussi que je le fais…

Moi – Ce n’est pas grave, même ça m’a fait plutôt plaisir que tu parviennes à me reconnaître… Sinon, déçu de ton élimination ?

Hisoka – Si, bien sûr, mais bon, je dois continuer de m’entraîner, voilà tout. Et toi ?

Moi – Non, pas du tout, même pour te dire la vérité, je m’en fous un peu, je préfères me concentrer sur le tourisme, je suis à Chikara, autant que j’en profites, n’est ce pas ?

Hisoka – Et bien… Disons que Chikara n’est pas le lieu de tourisme rêvé, mais… ce n’est mieux que rien… Enfin, pour te dire la vérité, je n’aurais jamais choisi Chikara comme ville de tourisme, tout ce sable…

Moi – Te donne la nausée ?

Hisoka – Pas exactement mais ça s’en approche…

Un rire général s’empara de notre discussion, déliant par la même occasion l’ambiance…

Hisoka – Bien, heureux de t’avoir rencontrer, mais pour l’instant, je dois partir… Bonne journée !!

Yassin – De même, Hisoka, et bonne journée !


______ Hisoka partit à toute vitesse s’enfoncer dans les nombreuses rues de Chikara jusqu’à que je n’arrive plus à le distinguer. En cette belle journée, je ne voulais pas revenir aussi tôt chez la demeure de Miiyu. J’observais les alentours, puis trouvant ce que je cherchais, je montai rapidement sur le toit d’un bâtiment surplombant la ville. Je m’asseyais sur le toit, sentant la légère brise me caresse. Quel endroit magnifique. Je contemplais le ciel bleu dépourvu de nuages, l’immensité de cette ville, le regard au loin dans l’horizon perçant le désert…

______ Qu’est que je pouvais bien faire ?... Mes pensées se tournèrent rapidement vers mes combats contre les participants du tournoi. Notrek, Sarouh, Akkurenaï, Yozo… Parmi ces quatre combats, il y’en avait la totalité où j’étais sérieusement blessé au point de rester de bonnes heures à l’infirmerie. Et je me rendais compte combien il était dangereux de se retrouver, au terme d’un combat, blessé au point d’avoir d’urgence des soins médicaux. Au tournoi, ce n’était pas très grave mais lorsque je serais en mission ou confronter à des combats – qui ne seront certainement pas aussi simple - je n’aurais pas le droit d’être blessé aussi gravement car j’handicaperais mes coéquipiers, je devrais avoir aussitôt des soins sous peine d’avoir de grosses séquelles et même de mourir par la suite.

______ En bref, je devais m’entraîner durement pour parvenir à être un bon shinobi, développer mes bases, les rendre plus efficaces, et indispensables. L’idée d’un bon entraînement ne me faisait pas peur, alors que j’étais un gros paresseux à l’Académie. Il faut que j’en profite, il me reste à peine quelques jours avant que je ne reviennes à Mahou, et je me trouve dans le tant renommé berceau de la pratique du Taïjutsu, Chikara !
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Message par Evaline 20/3/2008, 22:23

Une finale Chikara - Gensou. Rien d’étonnant au vu des genins présents. Bien sur pas que ceux de Mahou aient à rougir de leurs performances, bien au contraire. Le genin de chikara avec lequel Evaline avait échangé quelques coups était toujours assis à coté d’elle avec quelques autres de ses amis. Ils commençaient déjà à faire des paris juste après la déclaration des trois chuunins et juges du tournoi.

Genin : -Dis donc la genouarde ça te dit de parier un peu d’argent avec nous ?

Celui la était un peu collant…même lourd. Mais être entouré de jeunes hommes restait plaisant. Excepté leur arrogance coutumière au fait qu’ils soient des ninjas et qu’un des leurs se trouvaient en final. Patriotisme et fierté concentrés dans quelques jeunes gens font un cocktail détonnant vu la peine avec laquelle ils tenaient tous en place.

Evaline : Et bien pourquoi pas… disons 100 pièces sur mon compatriote.

Un éclat de rire général s’éleva du groupe de chikarate l’entourant. Visiblement ils étaient tous sur de la défaite prochaine de Yozo. Le Genin lui passa le bras autour des épaules en profitant pour se délecter du point de vue directe sur les généreux avantages de la jeune femme.

Evaline : Yozo n’a rien à perdre. Contrairement a votre …amie.

Elle repoussa la main baladeuse et lança un regard glacial au genin s’étant permis cette familiarité. Le chikarate avec qui elle venait de s’entraîner hocha la tête. En effet celui qui aurait sans doute le plus de pression serait Akkunerai. Cependant au vu de précédents combats le match serait serré. Les deux semblaient adeptes du taijutsu soutenu par leur
ninjutsu.

Cela promettait.

Genin : Au fait je me nomme Jael.

Evaline : Ravie. D’habitude on se présente avant de rechercher d’autres types de contacts non ? Même si ce n’est qu’un entraînement…

C’est avec plaisir qu’elle vit le chikarate sourire sous son bronzage lié au soleil qui ne semblait jamais recouvert par le moindre nuage. A se demander comment les chikarates trouvaient de l’eau !

Jael : Pardonne moi, le fait de n’avoir pu participer au tournoi m’a réellement donné envie de combattre un des participants. J’aimerai d’ailleurs finir ce combat si cela te dit. A moins que tu n’es un autre projet pour finir ta journée bien entendue ?

Evaline secoua la tête pour indiquer qu’elle était libre puis se leva pour suivre Jael et ses compagnons en route pour le terrain d’entraînement. Visiblement il semblait être en quelque sorte le chef de la bande. Peut être le plus doué des quatre ou celui provenant de la plus
puissante famille. Tout ceci étant bien souvent lié. Se mordant les lèvres la jeune femme ne posa pas la question pour éviter de paraître désagréable.

Evaline : Nous allons pimenter un peu notre combat. Si je gagne tu te dois de m’offrir l’hospitalité.

Jael se retourna pour faire face au sourire le plus charmeur de la jeune femme. Ses compagnons se mirent de nouveau à rire, l’un d’entre eux filant même un coup à jael.

Genin : …tu devrais faire exprès de perdre !

Jael : C’est donc un duel…et si je gagne ?

Evaline haussa les épaules et recoiffa une de ses mèches decheveux comme à son habitude. Un clin d’œil évocateur de sa part à destinationde Jael fit repartir de plus belle l’hilarité de ses compagnons.

Genin : et dire qu’on est sensé être le pays du feu…faut croire que les gensouarde sont bien plus brûlantes que nos femmes !

Le terrain d’entraînement s’était vidé depuis le matin. Selon les explications des genins, il y en avait de nombreux répartis un peu partout dans la ville pour les entraînements quotidiens. Les jeunes shinobis pouvaient ainsi venir s’y exercer sans risquer de blesser des passants et sans quitter l’enceinte du village. La température commençait à se rafraîchir alors que le soleil baissait à l’horizon. Les garçons grimpèrent sur les quelques arbres entourant la petite arène ensablée pouvant ainsi regarder le combat sans en perdre un instant.

Jael : bien es tu prete ? Evaline hocha la tête se mettant en position de combat. C’est parti !

Jael composa les signes zodiacaux avec une maîtrise parfaite.
Tama Honoo no jutsu !
Une boule de flamme apparut devant lui, de la taille d’un poing, dans la quelle il frappa de toute ses forces. Evaline se décala au dernier moment sur le coté pour éviter l’attaque alors que Jael composait déjà de nouveaux signes.
Seigyo Tama Honoo no jutsu !
Rien n’apparut pourtant le genin restait concentré. Un sifflement fit se retourner Evaline, la boule de feu revenait vers elle à toute allure. Elle bondit de nouveau sur le coté mais n’eut pas le temps d’éviter totalement l’attaque, la balle de feu la frappa à l’épaule la déséquilibrant quelque peu. Sa peau la tirait sous la brûlure et elle composa à son tour les signes préparant son propre ninjutsu.
Souzou Misu no jutsu !
L’eau ainsi crée calma la brûlure et la détrempa espérant ainsi « amortir » tout autre attaque à base de feu.

La jeune gensouarde saisit un des ses deux Kunai en se rendant compte de la distance que Jael avait déjà parcouru entre eux profitant de son inattention. Elle le lança a hauteur du torse forçant Jael à dévier sa course, lui laissant ainsi le temps de se préparer à le recevoir. Bien elle s’était déjà battu une fois au corps a corps contre lui et avait pu tester son taijutsu, elle allait donc pouvoir tester son propre taisen baisuu.

Elle bloqua la première attaque, un coup de poing haut, puis la seconde visant son ventre. Anticipant ensuite un coup de pieds elle souleva la jambe de Jael avec la sienne et profitant de son manque de stabilité envoya un coups de pieds fouetté, continuant son mouvement, frapper la cuisse de la jambe porteuse de son adversaire. Celui-ci grimaça et parvint à bloquer un puissant coup de poings des deux mains tout en reposant son autre jambe. Il ne
vit pas venir le coup de genoux qui vint s’écraser contre ses cotes lui laissant échapper un grognement de douleur.
Evaline bondit en arrière laissant sur place le chikarate grimaçant. Elle avait vu juste. Le style de combat qu’elle appliquait semblait le bon pour contrer et même dominer celui de son adversaire. Elle répondait au style académique et direct du chikarate par un jeu de contre simple mais visiblement efficace. S’il continuait a n’user que de taijutsu, il avait perdu d’avance.

Jael : C’est impressionnant… en deux combats et un échange avec moi je t’ai vu changer plusieurs fois de styles de taijutsu… et la tu as rapidement trouvé celui qui me contrerait…allez reprenons !

Kage bushin no jutsu !
Un second Jael apparut à ses cotés.Les deux se mirent à courir l’un devant l’autre alternant leur position vers la jeune femme. Evaline saisit son second kunai et visa un des deux Jael au hasard. Dans son élan celui-ci n’évita pas l’attaque mais la détourna au dernier moment faisant tomber le kunai au sol. Au moins ne porteraient ils pas leur première attaque
conjointement.
Evaline évita l’attaque du premier Jael et contre attaqua inutilement, celui-ci avait déjà laissé sa place au second qui attrapa l’avant bras de la jeune femme et la projeta par-dessus sa hanche. C’est le poing du premier qui vint la cueillir à la mâchoire alors qu’elle était parvenue à éviter la chute. Les deux attaquaient conjointement et efficacement, le style n’avait pas changé mais le taisen baisuu de la jeune femme, bien que l’avantageant contre un seul adversaire ne la rendait pas assez rapide pour contenir les assauts des deux en même temps.

Elle changea de style de combat, celui-ci était le préféré de son ancien maître. La technique de l’homme bourré comme il la nommait. Visiblement, ses déplacement erratiques, ses contre attaques aléatoires gainaient les deux Jael qui du coups se gênaient eux même. Evaline concentra rapidement du chakra dans son poings et feintant de trébucher parvint a l’écraser contre le torse d’un des deux ayant bondit pour profiter de l’aubaine. Il disparut dans un nuage de poussière laissant tomber un kunai au sol.

Elle se retourna fac au second mais arrêta son geste le voyant sourire et lui faire un petit signe de la main. Il disparut à son tour dans un nuage de poussière. La pointe d’un kunai dans son dos la fit s’immobiliser.

Jael : utiliser un clonage et une substitution pour te battre… et bien. A croire que m’entraîner au taijutsu n’était pas si utile que cela.
Toujours immobile Evaline soupira, affaissant légèrement ses épaules et plaçant doucement ses mains devant elle hors de vue du chikarate dans son dos.
Il semblerait que tu sois résignée… j’ai donc gagné n’est ce pas ?

Evaline : et bien … tu es doué c’est vrai…
Voila elle avait prononcé deux mots et comme toujours son adversaire se détendait…
Mais…
Elle ressentit Jael tendre ses muscles derrière elle, celui la n’était peut être pas si dupe que cela.
Mais un combat ne se termine que si le vaincu abandonne n’est ce pas ?
Elle relâcha le chakra qui lui restait englobant Jael dans son genjutsu.
iyoku ninfu !

Le kunai relâcha la pression dans son dos, se retournant lentement elle sourit à Jael, yeux écarquillés et bouche bée. Evaline en profita pour réajuste quelque peu ses vêtements sans quitter le chikarate du regard.

Evaline : Alors tu m’invites chez toi ?

Elle lui caressa la joue et ferma sa bouche en remontant sa mâchoire lorsqu’elle passa la main sous son menton. Pour qu’il soit dans un tel état il devait déjà être indéniablement attiré par la jeune femme. Rien d’étonnant.
Evaline tituba et s’appuya sur l’épaule de Jaelle qui secoua la tête reprenant ses esprits. Elle n’avait plus de chakra, le genjutsu s’était estompé.

Des applaudissements firent tourner la tête des genins présents vers un des arbres de l’arène. Un corbeau voletait au dessus et Kezashi était confortablement installé. Personne ne l’avait entendu arriver au vu de la surprise peinte sur chaque visage.

Kezashi : il se fait tard… mais il semble que tu sois occupée ma très chère élève.Au moins t’entrainais tu …et je ne voudrais pas te déranger si tu comptes exercer d’autres de tes talents cette nuit…
Son sourire ironique et sa voix toujours aussi froide firent l’effet d’un glaçon dans le dos de la jeune femme. L’effet fut inverse sur Jael qui redevint aussi rouge que le soleil couchant.
…moi qui comptait t’inviter à manger avec Iziroth et Mei-Lynn…

Evaline : allons Kezashi ! Je sais bien que votre bourse est vide et que vous veniez me réclamer de quoi vous offrir un repas !
Mais je viens de remporter un défi et je suppose que si je suis invitée a dîner mon « sensei » peut l’être aussi !

Jael hocha affirmativement la tête. Et fit signe a ses amis qu’il les retrouverait le lendemain pour assister à la finale. Les deux genins et le chuunin mirent 5 minutes pour arriver à la demeure de Jael. Celui-ci donna en route le nom de son clan, le shibutsurasuna expliquant son lent repli sur lui-même malgré un nombre de ninjas relativement important. La décadence du clan aurait selon ce qu’il sait commencer lors d’une guerre face à un autre
clan étranger.
La demeure était imposante mais trapue comme toutes les autres battisses du village. Jael ouvrit la porte et laissa passer Evaline puis Kezashi. Un homme assis face à un bureau dans le fond de la pièce semblait être entrain de lire.

Jael : Papa ! J’ai ramené des invités !

L’homme se leva fermant son livre et se retourna. Il avait peut être entre trente et quarante ans. Bien bâti, l’allure d’un ninja sur de lui. Son uniforme l’indiquait comme étant un chuunin de chikara, mais sa prestance et la longue cicatrice partant de sa tempe et courant jusqu'à sa joue lui donnait bien plus d’expérience. Il regarda un instant Evaline avant de
fixer Kezashi longuement.

Chuunin du clan shibutsurasuna : Bienvenue, les lois de l’hospitalité m’obligent a vous servir shinobis de Gensou.
Sa voix étaient glacial et surpris même jael qui bredouilla qu’il allait chercher à boire indiquant des sièges aux deux gensouards.

S’asseyant doucement et s’apprêtant a prendre la parole pour faire baisser la tension qui semblait régner dans la pièce evaline remarqua que kezashi se massait étrangement la tête, titubant un peu avant de s’appuyer contre le dossier d’un fauteuil libre. La grimace qui déformait son visage n’indiquait rien de bon.

Chuunin du clan shibutsurasuna : Bienvenu chez moi dernier fils du clan Hykao.
Non rien de bon…
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Message par Hayamaru 21/3/2008, 20:00

J'étais sur l'arche de la porte du village, le vent dans les cheveux, mêlé au sable qui me fouettait le visage. Je senti une goutte chaude couler sur ma joue.
Pfff... Quelle tarlouze... chialer...
Caché par ma technique de camouflage, je regardais un type au cheveux blancs et un homme un peu plus vieux, accompagnés d'un vieillard partir à travers le désert, vers les plaines de Yuukan. Je savais qu'elle était leur destination. Gensou. Le village de la cascade. Ce bâtard de Ryuuzaki n'est même pas venu me dire au revoir...
J'entendis quelqu'un m'appeler. Harue, ma nouvelle sensei, censée m'apprendre un nouveau style de Taijutsu.
Harue – Haya !
Moi – J'arrive.
Je sautai de mon point de vue magnifique avant de retomber avec grâce.
MoiAbaissant mon nouveau chapeau de paille et partant tournant le dos aux portes – Allons-y...
Nous ne dîmes pas un mot pendant le voyage jusqu'au dojo Nekoka.
Moi – Écoute, Harue, j'ai pas envie de m'entraîner aujourd'hui, excuse-moi...
Harue – Je t'en veux pas, je te comprends... Je suis très déçue moi aussi qu'il soit parti. C'était un bon élève... et puis...
Elle devint rouge puis se mit à trembler légèrement.
Moi – Je vois. Dis-moi, Harue, tu as quel grade ?
Harue – Je suis Jounin, pourquoi ?
Moi – Impressionant, tu es jeune, pourtant. Prépare tes affaires, demain, on suit Ryuzaki. Seulement je ne suis pas sur qu'il aille à Gensou.
Harue – Comme tu veux.
Moi - Bon je rentre. A demain.
Je repartis, le moral au plus bas.
Il faudrait que je puisses le filer. Mais comment ? Il faudrait que je m'intéresse à une discipline maîtrisée à tous les niveaux de ninja. L'invocation. Je sautai sur un toit, puis fila vers la bibliothèque de Chikara. Arrivé à l'accueil, je demandai à la femme :
Moi – Avez vous un registre des techniques d'invocation maîtrisées par les Chikarates ?
Femme – Oui, suivez-moi.
Elle m'enmena dans une rangée.
Femme – Chaque animal avec qui un pacte de sang peut être lié est répertorié ici.
Moi – Merci beaucoup.
Je me mis à chercher au hasard.
Je pris un livre marqué “loup”. Ca a l'air pas mal, mais c'est pas ce qu'il me faut. Je le rangeai puis en pris avec le kanji “aigle”. Parfait pour pister quelqu'un. Je l'ouvris pour lire une grande inscription :”Cette catégorie d'invocation est réservée au clan...”. Et merde !. Je cherchais un autre livre. L'un tomba devant moi. “Faucon”. Je le pris, intrigué, et l'ouvris à une page au hasard. “Maitrisé par :”. Toute un liste de nom était disposée sur apparement plusieurs pages. Soudain, mon regard s'arrêta sur l'un des noms. “Tora Futeki”.
Moimurmurant – Sensei...
Je laissa tomber mon livre d'étonnement puis me rua hors de la bibliothèque. Je courus dans les rues de Chikara comme un dératé, bousculant les gens au passage. J'arrivai devant la résidence de mon sensei, essouflé. Je ne pris pas le temps de frapper à la porte et déboula dans la maison. Je trouvai Futeki allongé dans un hamac, en plein milieu d'une salle.
Futeki – Yo ! Haya ! Qu'est-ce qui t'amène chez moi ? En défoncant la porte, en plus...
Moi – Apprenez-moi votre technique d'invocation, s'il vous plaît ! Aujourd'hui !
Il me jeta des regards étonnés, puis éteignis son cigare, mis ses lunettes de soleil, et sorti derrière chez lui, sans dire un mot. Une fois arrivé à la porte (de derrière), il se retourna vers moi.
Futeki – Tu es vraiment sûr ? C'est une décision irrévocable.
Moi – J'en suis sûr !
Futeki – Bien, suis moi, alors.
Je sortis dehors. Le jardin était assez vaste, sans pour autant être immense.
Futeki – Retse là. Je vais chercher quelque chose.
Il sauta vers sa fenêtre et redescendis avecun énorme parchemin.
Futeki – Fais-toi une entaille dans le pouce, écris ton nom avec ton sang et fais une empreinte de toute ta main.
Moi – D'accord.
Je m'exécuta. Une fois que j'eu finis, je me mis un petit peu de pommade cicatrisante sur le doigt.
Futeki – Bien. Mais avant de passer à la pratique, laisse moi te poser une question. Pourquoi as-tu décidé, et si promptement, d'apprendre l'invocation des faucons ?
Moi – Je souhaite pister quelqu'un, qui vient de quitter Chikara.
Futeki – Pfff... Imbécile !
Moi – Quoi ? Pourquoi vous dites ça ?
Il se fit lui même une entaille en glissant sa main le long de son katana sans fourreau. Il composa quelques signes, puis apposa sa main par terre. Un sceau apparut, puis dans un nuage de fumée, un faucon apparut. Il me semblait tout ce qu'il y a de plus normal. C'était la première fois que je voyais une invocation en vrai.
Futeki – Voici Yamanekogan. Il est facile à invoquer. Sa seule spécificité est qu'il parle. Il est donc tout indiqué s'il s'agit de pister quelqu'unJe l'ai invoqué, et il t'obéiras tant que tu auras besoin de lui. Cela t'évite de perdre du temps à t'entraîner à l'invoquer.
Moi – C'est vrai, je n'y avait pas pensé. Merci beaucoup, sensei ! Yamanekogan ! Un jeune homme habillé de bleu et aux cheveux blancs est parti de Chikara il y a environ une heure, accompagné de son sensei et d'un vieille homme. Suis-le. Reviens régulièrement vers nous pour nous indiquer vers où aller.
Yamanekogan – Bien. Comme vous voudrez.
Le faucon s'envole sur-le-champ.
Moi – Je pars sur-le-champ. Je louerais un griffon.
Futeki – J'ai entendu dire que tu avait fait des bêtises au QG. Si en plus tu désertes Chikara, tu vas avoir de sérieux ennuis...
Moi – Vous pourrez vous occupez de la paperasse pour moi.
Futeki – Pfff... Je vois que tu as tout prévu... Bien, allez, file ! Juste avant, prends ça.
Il me donna une protection pour l'avant-bras
Futeki – Si tu te sert des faucons, tu en aura besoin.
Je sort puis file vers l'élevage de griffons du village.
Moi – Bonjour, je voudrais louer un griffon pour une durée encore indéterminée.
Vendeur – Très bien, le tarif est de 1000 ryos par jour.
Mon père pourra payer.
Moi – Bien, je souhaite en disposer dès maintenant.
Vendeur – Bien. Attendez-moi dehors, je vous l'ammène.
J'attends dehors puis l'homme reviens sur le dos d'un griffon au plumage noir.
Moi – Merci. Envoyez la facture à la forge d'arme Daihoshi.
Je m'envole vers le dojo Nekoka. Je me pose sur le toit et attache le griffon à ce que je trouve. Puis je saute par terre avant de rentrer dans le dojo.
Moi – Harue ! Harue ! Ou est-tu ?
Je l'aperçois arriver.
Harue – Qu'est-ce que tu fais là ? On ne part que demain, non ?
Moi – Je sais comment retrouver sa trace. Je t'expliquerais en chemin. Viens. J'ai même emprunté un griffon. Mon sensei s'occupe des formalités administratives. Viens.
Harue – T'es formidable !
Nous montâmes sur le toit avant d'enfourcher le griffon et de nous diriger vers la porte du village, sans voler.
Arrivés à la porte, nous fûmes interpelés par les gardes.
Garde – Halte ! Avez-vous l'autorisation de sortir du village ?
Harue – Je dirige le dojo Nekoka du village. Ce genin est sous ma protection et possède l'autorisation personelle du kage. Pouvons nous passer ?
Garde – Heu... Oui, tout est en ordre.
Nous passâmes les portes géantes du village pour nous enfoncer, pour moi, pour la première fois, dans le désert et les lointaines contrées de Yuukan...
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Message par Kezashi 22/3/2008, 03:01

*Tremblement*

Kezashi regarda avec insistance le Chuunin de Chikara. Son visage ne lui disait rien et pourtant il semblait connaître le Clan Hykao de Kezashi

Sa "vision" commença à se troubler et une forte pression se faisait ressentir sur l’ensemble de son cran.

*Tremblement*


Chuunin de Chikara :
Excusez moi, je ne me suis pas présenté. Je suis Gatonoa, Chuunin de Chikara et dirigeant du clan Shibutsurasuna.

Kezashi eut un nouveau tremblement quand le Chuunin se présenta. Des images apparaissaient très rapidement à lui, ne pouvant pas véritablement les distinguer et les analyser.

Evaline continuait de fixer Kezashi, s’inquiétant pour la première fois de l’état de son Sensei. Elle paraissait quelque peu troublé par la situation. Elle n’avait pas pour habitude de voir le Maître corbeau laissé apparaître ses émotions. Par prudence, elle décida de rester sur ses gardes.

Kezashi : Puis-je savoir comment vous connaissez mon Clan ?

Gatonoa : J’ai déjà eu affaire à votre Clan par le passé et j’aurais cru ne plus jamais rencontrer un de leur membre, surtout pas le dernier fils du Clan.

Kezashi :
Vous semblez pourtant bien me connaître, donc mon Clan y compris.

Gatonoa : J’ai séjourné durant 2 ans à Gensou, c’est là que j’ai rencontré certains membres de votre Clan. J’ai été très peiné d’apprendre la mort de votre frère jumeau, il y a dix ans.

Evaline manqua de s’étouffer.


Evaline (pensée) :
Un jumeau ? Kezashi ?

Kezashi fixa avec énervement la belle Genin, afin de lui montrer qu’elle sortait légèrement de sa place.

Reprenant son sérieux, Evaline se tint tranquille et la discussion reprit.


Kezashi : La nouvelle est arrivée jusqu’à Chikara ? Je suis surpris d’apprendre q’une information si peu importante est pu parvenir jusqu’à vous.

Gatonoa : Je l’ai appris peu de temps avant mon départ pour Chikara. Je m’étonne d’ailleurs que vous soyez toujours en vie.

Kezashi : Pourquoi donc ? Vous savez que mon frère et moi étions visés ? Le travail n’a pas été fini ?

La tension monta dans la pièce. Evaline semblait de plus en plus mal à l’aise. Elle regardait avec insistance son Sensei pour décrypter le moindre signe pouvant l’informer sur la situation.

Gatonoa se leva.


Gatonoa :
Le travail a été bien fait. Seulement vos parents n’aurait pas du s’en mêler et sceller en vous l’esprit.

Evaline (pensée) : De quoi parle-t-il ? Un esprit scellé ?

Kezashi : L’esprit de mon frère.

Gatonoa : Effectivement. Vous auriez du perdre le contrôle. L’esprit de votre frère aurait du prendre par sur vous et se nourrir de votre haine. Vous auriez du devenir incontrôlable et détruire l’ensemble de votre Clan.

A ces mots, Gatonoa frappa avec violence de son poing sur le bureau, fissurant le meuble. Kezashi était déjà debout, un Kunaï à la main. Evaline surpris par la scène, se leva à son tour et recula d’un mètre derrière sa chaise, se trouvant ainsi dans le dos de son Sensei.

Gatonoa : Votre père a détruit mes rêves de pouvoir. Il a reçu toute la gloire suite à une mission dangereuse effectuée non loin de Gensou. C’est moi qui aurais du être acclamé en héros.
Je suis resté à Gensou pendant deux ans afin de préparer mon plan pour détruire votre Clan. J’ai enfermé l’esprit de votre frère en vous, afin de créer un monstre capable d’exterminé votre Clan tout entier. Mais une fois de plus, votre père a fait échoué mes plans.
Depuis ce jour, j’ai préparé ma revanche. Je ne pensais pas avoir à agir aussi vite mais… la situation m’y oblige.

Kezashi (à voix basse) :
Evaline, j’espère que tu te souviens de la sortie. Au premier geste que je ferai, court et ne te retourne pas. Préviens Izyroth si je ne sors pas de la demeure.

Kezashi observa brièvement la pièce. La porte était derrière eux et le bureau les séparait de Gatonoa. Kezashi attrapa le bureau à deux mains et le balança sur le Chuunin.
Evaline se retourna sans hésiter et commença à courir. Cependant elle regarda par-dessus son épaule et put avec joie apercevoir Kezashi qui la suivait de très près. Il mit à effectuer des signes.


Yobikake Karasu no Jutsu (l’appel du Corbeau)


Kezashi effectua de nouveaux signes.


Fuuton: Shikai moujin' no Jutsu

Kezashi : Vision détaillée. A Gauche Evaline. Il nous suit de très près. Je vais le retenir pendant que tu t’enfuis.

Kezashi et Evaline entrèrent dans une grande pièce. La salle à manger se dirent-ils.

Kezashi :
La porte du fond, elle va t’amener vers un grand couloir, tu pourras sortir par là.

Evaline :
Et vous Sensei ?

Kezashi : Ne t’occupe pas de moi.

Une dizaine de corbeau entrèrent par la porte du fond et vinrent tourner autour de leur Maître.
Gatonoa entra dans la pièce. Un corps à corps d’une extrême violence débuta. Le niveau en Taijutsu était nettement supérieur à celui de Kezashi. Pas très étonnant venant d’un Chikarate.
Kezashi commença rapidement à être débordé par les attaques de son adversaire. Gatonoa bailla Kezashi qui se retrouva au sol. Surpris, il ne put éviter un coup de poing. Kezashi s’effondra.

Evaline n’avait pas suivit les ordres de son Sensei. Elle regardait le combat derrière la porte. Elle pouvait voir Kezashi au sol, sans doute dans les pommes. Gatonoa effectua une série de signe. De petites boules jaunes se trouvaient à l’extrémité des doigts de sa main droite. Il attrapa de sa main la tête de Kezashi qui se mit à crier avec horreur. Evaline ne pouvait rester là à rien faire. Elle voulait agir, mais son corps ne lui répondait plus.

Les corbeaux sentant leur Maître dans une mauvaise posture commencèrent à attaquer Gatonoa qui avait relâché le visage de Kezashi. Il tentait à présent d’éviter les attaques de corbeaux avec difficulté.

Evaline entendit des bruits derrière elle. Elle se retourna et aperçut une dizaine de nouveaux corbeaux foncés vers la porte. Ils entrèrent dans la pièce et se mirent à leur tour à attaquer Gatonoa. Il était maintenant submergé par le nombre de corbeaux.
C’était le moment idéale pour Evaline. Elle se dirigea le plus discrètement possible vers le corps inanimé de Kezashi. Elle le traîna tant bien que mal jusqu’à la porte. Une fois dans le couloir elle le porta sur son dos jusqu’en dehors de la maison. Heureusement qu’Evaline avait une force au dessus de la moyen, car son Sensei pesait bien son poids.

Maintenant dehors, Evaline regarda dans la rue. Personne. Il faisait nuit. Ce détail lui offrait un grand avantage pour sa fuite. Ce qui n’était pas de refus vu l’encombrement que lui procurait son Sensei.

Evaline se cacha dans une petite ruelle parallèle à la maison. Elle gifla Kezashi pour le réveiller. Au bout d’une ou deux minutes, il reprit connaissance.


Kezashi (d’une petite voix):
Comme à ton habitude, tu n’as pas suivit mes ordres.

Evaline : Heureusement pour vous on dirait.

Kezashi : Où sommes nous ?

Evaline : A cent mètres de la demeure des shibutsurasuna.

Kezashi : Aide moi à me lever. Il faut que l’on aille aux appartements du tournoi. Nous y serons en sécurité.

Vingt minutes plus tard, Kezashi et Evaline entrèrent dans l’appartement des juges du tournoi. Izyroth et Miiyu discutaient affalés sur des sofas. Quand ils aperçurent, Kezashi soutenu par Evaline. Ils se précipitèrent pour l’aider.

Izyroth : Qu’est-il arrivé ?

Kezashi : Pose moi sur le canapé et je t’expliquerai.

Après avoir raconté leur péripétie, Kezashi renvoya Evaline dans sa chambre.

Izyroth : Je me souviens quand nous étions dans l’équipe de Dark Sol. Tu avais eu une crise en plein entraînement. Comme je ne te connaissais pas encore très bien je n’ai pas posé de questions. Maintenant tout s’explique.

Miiyu : Moi je ne comprends rien du tout à ton histoire de frère jumeau et de clan.

Kezashi : C’est assez flou pour moi aussi rassure toi.

Izyroth : Que vas-tu faire ?

Kezashi :
Rien pour le moment. La finale est demain. Notre rang de juge nous donne la sécurité diplomatique. Gatonoa ne pourra rien tenter. Je vais arbitrer le match demain comme prévu et nous partirons dès lendemain. Il faut absolument que je retourne à Gensou pour éclaircir tout ça.

Miiyu :
Dans le cas où tu ne pourrais pas arbitrer, je prendrai ta place.

Kezashi : Merci Miiyu. Allons nous coucher.

Izyroth : Très bien. Je vais demander que l’on place un garde à la porte d’Evaline par sécurité.
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Message par Invité 22/3/2008, 19:18

Miiyu se concentra un court instant, puis malaxa une petite partie de chakra, avant de lancer sa technique. Aussitôt deux autres Miiyu apparurent en face de l’original. Celle-ci laissa échapper un sourire : en fin de compte, les clones inconsistants était loin d’être difficile à créer et à maîtriser. Si la jeune fille avait passé plus de temps à étudier ou même ne serait-ce qu’à écouter en cours plutôt qu’à regarder le ciel à l’académie, elle l’aurait d’ailleurs maîtrisée en étant genin. Et il en était de même pour la substitution et le henge. Cela lui aurait évité de perdre quelques jours…

Miiyu fit disparaître ses deux copies négligemment, avant de se diriger vers la porte de sa demeure, qu’elle ouvrit en grand. Elle prit alors une grande inspiration avant de gueuler un « YASSSSIN » sonore. Le jeune garçon ainsi prénommé ne tarda pas à apparaître dans l’encadrement de la porte, un brin déconcerté par l’attitude de sa sensei : il venait tout juste de rentrer d’une balade dans Chikara, et jusqu’ici Miiyu l’avait plus ou moins laissé tranquille, puisqu’elle était toujours occupée soit avec le tournoi, soit dans la bibliothèque à chercher dans de vieux bouquins, ou encore à rendre visite à Kezashi et Izyroth dans les appartements normalement prévu pour les arbitres mais où la jeune fille avait refusé de loger.


Yassin : « Quoi encore ?
Miiyu : -Et bien… depuis que tu es à Chikara, je t’ai laissé tranquille parce que tu participais au tournoi. Mais depuis hier, tu n’es plus en lice…
Yassin : -Oui, et ?
Miiyu : -Et l’entraînement va reprendre ce matin même. Tu es prêt ?
Yassin : -Si je dis non, je… ?
Miiyu : -Tu viens quand même.
Yassin : -Bon, bah je suis prêt alors.
Miiyu : -C’est mieux ainsi. »

La jeune fille descendit les marches pour revenir au centre de la cours, suivie de près par son élève.

Miiyu : « Je t’ai suffisamment observé combattre ces derniers jours pour savoir que tu ne maîtrise pour le moment aucune technique. Enfin, je dois admettre que sais te débrouiller avec tes kunaïs et que tu n’es pas mauvais en taïjutsu, mais tes adversaires avaient pour la plupart beaucoup plus de possibilité que toi, car ils connaissaient pour la plupart des techniques de ninjutsu ou de genjutsu. Le genjutsu n’étant pas mon domaine de prédilection…
Yassin, narquois : -Ha bon, j’avais pas remarqué, tiens…
Miiyu : -Oh, ça va, hein. Je disais donc, le genjutsu n’étant pas mon domaine de prédilection, je me suis plutôt penché sur le ninjutsu. Le problème est que j’ignore –et toi aussi d’ailleurs- encore ton affinité.
Yassin : -En gros, il me reste que le Taïjutsu, c’est ça ?
Miiyu : -Non. Enfin… c’est à toi de voir dans quel type de façon de combattre tu sais te diriger. Personnellement, je préfères me battre à l’aide de technique de ninjutsu… enfin bref… restent les techniques qui n’ont pas de rapport avec les affinités. J’ai remarqué que tu ne connaissais, par exemple, le henge, qui est pourtant une des bases que l’on peut apprendre à l’académie…
Yassin : -Ah ?
Miiyu : -… c’est moi ou tout le monde dort lors des cours de ninjutsu ? Il me semble que Hyûma ne connaît pas non plus cette technique…
Yassin : -Tu la connais, toi ?
Miiyu : -Bien sûr. Et je compte bien t’en inculquer les bases, en espérant qu’elles pourront t’être utile par la suite. »

Miiyu se mit face à son élève et commença sa leçon par une courte démonstration. Elle avait décidé de lui apprendre le henge en premier. La substitution et le clonage viendraient en temps et en heures. Elle lui expliqua donc par étapes successives la théorie du henge. Elle s’aperçut qu’il était rare qu’elle fasse vraiment un cours comme elle était en train de le faire. D’habitude, elle se contentait de travailler la musculature, la vitesse et la maîtrise du chakra à ses élèves, et de leur apprendre à se battre. Après quelques temps, elle fit faire à Yassin plusieurs tentatives de henge. La consigne était tout simplement de prendre son apparence à elle. Le résultat n’était cependant pas très probant. Aux premiers essais, Yassin garda tout simplement sa propre apparence.


Miiyu : « Allez, essaie encore.
Yassin : -Ca sert à rien, j’y arrive pas.
Miiyu : -Tu finiras par y arriver si tu t’entraînes et si tu appliques exactement ce que je te dis. Allez, prends mon apparence.
Yassin : -Ouais, bah c’est pas des masses motivant… »
Miiyu, caressant son fouet négligemment –Ha bon ?
Yassin : -Hum… heu… si si, en fait ! »

De guerre lasse, Miiyu finit par annoncer la fin de cours : elle devait bientôt se rendre à l’arène… et annoncer aussi quelque chose à Yassin.

Yassin : « Il y a un problème ? Tu as l’air songeuse…
Miiyu : -Hein ? Oh, non rien… enfin… il faut que je te parle, quoi.
Yassin, pas rassuré : -Ah ?
Miiyu : -Oui. J’ai plusieurs choses à te dire. Premièrement, je suis très fière de tes performances au tournoi… Qui aurait cru que tu irais si loin, toi, le petit genin tout frais sorti de l’académie ? J’aimerais que, lorsque nous serons tous à Mahou, tu affrontes Hyûma. Je suis sûre que tu as tes chances. Ensuite… et bien… dès que le tournoi sera terminé, je vais partir pour Gensou pour… une affaire de famille. Je ne sais pas combien de temps cela va me prendre exactement.

Yassin : -Je viens à Gensou moi aussi ?
Miiyu : -C’est à toi de voir. Tu peux aussi profiter de ton petit séjour à Chikara encore quelques jours, puisque j’ai l’impression que ce village te plaît. Tu rentreras avec une quelconque caravane à Mahou, à moins que je ne revienne ici te chercher plus tard. Si tu restes ici, je ne vendrais pas la maison, tu pourras y rester tout le temps que tu voudras. Mais tu peux aussi m’accompagner et voir Gensou. Je te laisse réfléchir à ce sujet. Donne-moi ta réponse dès que possible, bien que je crois déjà savoir. Et sinon : j’aimerais que dès notre retour à Mahou tu m’exécute une transformation en moi, un henge parfaitement réussi ce qui devrait être loin d’être impossible pour toi, non ?

Yassin, pas convaincu : -Heu… ouais. »

La jeune fille sourit et puis se retira vers la maison, laissant Yassin réfléchir un peu. Elle-même se perdait peu à peu dans ses pensées, où deux noms allaient et venaient sans cesse : Kezashi et Kiira. La veille au soir, alors qu’elle s’était rendue aux appartements d’Izyroth et Kezashi afin de discuter un peu avec eux, elle n’avait trouvé qu’Izyroth. Kezashi était arrivé plus tard, soutenu par son élève Evaline. On l’avait alors allongé sur un sofa, et il leur avait expliqué son histoire. Etrange histoire s’il en était. La jeune fille secoua la tête, et c’est le nom de la seconde personne qui vint à son esprit. Elle y pensait de plus en plus souvent. Kiira. Meurtrier. Vengeance. Une poussée de colère monta en elle, et elle eut le plus grand mal à la réprimer. Elle tenta de se calmer avant de prendre la direction de l’arène.

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